La comptabilité numérique à portée de clic
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Chez Codabox, nous adorons écouter nos clients. Pas uniquement parce que ce sont des gens chouettes (ce à quoi vous pouviez vous attendre), mais aussi parce qu’ils vont droit au but. Voilà pourquoi notre collègue Tom a récemment posé son micro sur le bureau de Mustafa Seker, fondateur du bureau comptable et fiscal FVS Services.
Mustafa est un véritable buteur numérique. Avec son diplôme de sciences commerciales en poche, il a goûté à la pratique chez KPMG et PwC.
Il s’est recyclé, a ajouté la corde de consultant en fiscalité à son arc et, en 2018, a ouvert sa propre fiduciaire à Alost. FVS Service, un bureau comptable et fiscal qui a rapidement eu une seconde antenne à Oostakker.
Mustafa fait tourner les bureaux avec son frère -l’indispensable bras droit- et 19 collaborateurs dévoués. Leur portefeuille client compte environ 500 personnes qui profitent de la puissante expertise « maison » de FVS Services.
Mustafa : « Nous sommes un bureau composé de jeunes talents dynamiques. J’ai 38 ans et j’appartiens déjà à la vieille garde (rires). Notre équipe zélée est 100% tournée vers les nouvelles technologies. Cela nous place en première ligne en matière de numérisation. Nos collaborateurs parlent le langage numérique de nos clients, qui sont donc vite convaincus des avantages de notre approche moderne, axée sur les résultats ».
« Nous ne sommes pas un bureau qui use et abuse de termes difficiles, avec un jargon rigide, oh non. Plus c’est simple, mieux c’est (rires). Autre gros avantage : notre équipe comprend des personnes parlant arabe et turc, en plus du néerlandais, du français et de l’anglais, bien sûr. Nos publications multilingues sur les réseaux sociaux sont très populaires ; ils nous permettent d’attirer un large public ».
« L’accessibilité : c’est aussi un impératif pour nous. Obtenir un rendez-vous, c’est généralement faisable la semaine même et nous préférons toujours un agréable face-à-face (numérique) plutôt que de devoir tout gérer par e-mail ».
Mustafa : « Si je compte bien… Yuki, Winbooks On Web, FID-manager, Instaclause, TwinnTax, Scrada et – évidemment – Codabox ».
Mustafa : « Tout comptable connaît les mêmes moments de stress : les périodes de TVA, lorsque le client demande des chiffres provisoires et, bien sûr, la préparation des bilans.
Durant ces périodes-là, mes collègues ont bien d’autres choses (et bien plus intéressantes) à faire que cet encodage manuel des salaires chronophage et ennuyeux au possible, pfffff.
Nous travaillions déjà avec CODA, il n’y avait donc qu’un petit pas à franchir pour activer SODA pour tous nos clients. Une fois que vous avez appris les règles de reconnaissance au système, les données sont automatiquement lues chaque mois ».
Mustafa : « Tout est parfaitement relié aux bonnes entrées du journal des OD de paie et aux comptes du grand livre, ce qui réduit considérablement la marge d’erreur. Et puis, nous gagnons beaucoup de temps car le travail manuel (de vérification) est éliminé ».
« Un cas concret de l’ancienne école : un client souhaite acheter quelque chose et a besoin d’un prêt en urgence. La banque attend des chiffres, nous attendons une attestation préalable des charges salariales. Mais le client ne comprend pas que ce n’est pas nous, le facteur retardant ».
« Avec SODA, de tels problèmes sont inexistants. La révision n’est tout simplement plus nécessaire. Et à la fin de l’année, l’attestation des charges salariales correspond parfaitement à votre fichier SODA ».
Mustafa : « Oh, ça ne prend que 2 petites minutes par client la première fois. C’est vite fait. Et par la suite, il ne reste plus qu’à en récolter les bénéfices ».
Mustafa : « Pour tout le monde. Que nos clients aient des ouvriers ou des employés, qu’il n’y en ait qu’un ou qu’ils soient plus de 100 : cela ne fait aucune différence pour SODA. Idem pour un indépendant sans personnel avec juste une fiche de paie émanant d’un secrétariat social.
Le coût est dérisoire, moins de 65 euros par mois pour l’ensemble de vos dossiers.
OK, si vous utilisez SODA avec 2 logiciels, ça fait 130 euros. Ça ne change pas grand-chose, hein (rires) ».
Mustafa : « Evidemment, on se concentre tous sur CODA qui change clairement la donne pour les comptables. Mais CODA n’est que la première étape du voyage numérique. SODA est tout aussi important dans le processus d’automatisation de toute fiduciaire ».
« Si vous voulez vraiment aller de l’avant, vous avez besoin de SODA. Vous gagnez 20 à 30 minutes par dossier par an. Pour notre base de 500 clients, cela génère – en gros – un gain de temps d’environ 30 jours/homme supplémentaires.
Vous seriez fou de ne pas le faire, surtout pour un coût aussi faible ! »
Mustafa : « SODA est notre collaborateur en charge du payroll le plus fiable. Mais comment dire ça en un mot (rires) ? Quoi qu’il en soit, le service est parfaitement intégré à nos solutions existantes et nous aide énormément en termes d’automatisation.
Alors oui, SODA nous soulage d’un grand poids ».
Mustafa : « Grand ou petit, ça n’a pas d’importance. Même si vous travaillez seul. Gagner du temps, travailler sans erreur, de manière plus agréable et plus efficace pour un coût mensuel négligeable : c’est ce que tout le monde souhaite, n’est-ce pas ? »
Mustafa : « … alors vous cherchez vraiment les ennuis (rires). Davantage de stress – parce que la comptabilisation des salaires est le travail le plus ennuyeux qui soit -, et encore plus de probabilité de commettre des erreurs, peu importe à quel point vous aimez et appréciez votre travail ».