La comptabilité numérique à portée de clic
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Interview mené par Tom Blight
Tom : « Été ou hiver ? »
Steven : « Probablement contre toute attente : l’hiver. »
Tom : « À quelle destination de vacances donnerais-tu ton dernier centime ? »
Steven : « Les Maldives. J’y suis allé une fois et c’était une expérience inoubliable. Bien que cet endroit n’ait pas grand-chose à voir avec l’hiver, en fait (rires). »
Tom : « Quel emoji utilises-tu le plus ? »
Steven : « Ah, celui qui se roule par terre en riant. J’essaie de voir la vie du bon côté et de rire dans les bons comme les mauvais moments. Ces emojis-là fusent donc chez moi. »
Tom : « Plutôt du matin ou oiseau de nuit ? »
Steven : « Clairement noctambule, Tom. Mon niveau de productivité commence à grimper à partir de midi (rires). »
Tom : « J’en déduis donc que tu n’as pas de jeunes enfants ? »
Steven : « Au contraire ! J’en ai trois, âgés de 10, 4 et 3 ans. Nous sommes une famille recomposée – bien que très soudée, d’ailleurs – avec un mariage prévu… »
Tom : « Je sens une invitation arriver (rires). Et quid de ton temps libre ? »
Steven : « Quand j’en trouve : jouer à l’ordinateur et aux jeux de société. Avant l’arrivée de mes enfants, je jouais chaque semaine avec un groupe d’amis d’enfance (oui, ça remonte…). Mais bon, les priorités changent, n’est-ce pas ? (clin d’œil). »
Tom : « En parlant de priorités, Codabox est sans aucun doute en haut de ta liste, héhé. Depuis combien de temps travailles-tu ici ? »
Steven : « Cela fait deux ans et j’adore ça. Ce qui m’a frappé au début, c’est l’excellente manière dont l’entreprise traite les freelances. Il n’y a pas vraiment de différence avec les employés permanents, et je peux te dire que ce n’est pas comme ça partout. »
Tom : « Ils vont aimer entendre ça ici (rires). Que faisais-tu avant de nous rejoindre ? »
Steven : « J’ai travaillé quatre ans dans la security team de KBC et avant ça huit ans chez DKV, toujours en tant qu’indépendant. Après mes études – et là, on remonte vraiment loin dans le temps – j’étais employé chez Kronos. »
Tom : « Impressionnant. Chez nous, tu es Software Development Engineer. Qu’est-ce que ça veut dire au juste pour Monsieur et Madame tout le monde ? »
Steven : « Je développe des applications pour rendre la vie des comptables plus facile. Je m’occupe de la facturation électronique – Peppol, etc. -, et aussi de l’intégration avec Doccle. »
Tom : « Et nos fameux services VOILA et VOICI ? »
Steven : « VOILA est en effet sous ma responsabilité. Je m’explique : nous avons créé la solution Flowin, qui permet d’envoyer et de recevoir des factures via Peppol. »
Tom : « À quoi ressemble une journée de travail typique »
Steven : « Nous programmons encore énormément chez Codabox. Souvent à deux, en pair programming, comme on dit. Nous travaillons donc en duo sur le même problème. Cela améliore la qualité. Le plus grand avantage réside dans le fait que la connaissance est partagée. En cas d’absence, il y a toujours un backup, ce qui nous permet de réagir rapidement. »
Tom : « Comment fait Codabox pour embellir tes journées ? »
Steven : « Nous énormément de liberté ici. Nous proposons par exemple nous-mêmes des solutions aux problèmes. Grâce au pair programming, nous apprenons les uns des autres, ce qui renforce l’équipe. L’un inspire l’autre et vice versa. C’est magique (rires). De plus, j’apprécie que la diversité ne soit pas cachée ici, mais que nous soyons réellement un groupe haut en couleurs – au sens propre comme au figuré. »
Tom : « Il existe des défis et des grands défis. Mais quels sont les plus grands pour toi ? »
Steven : « J’en vois deux, en fait (clin d’œil). D’une part, l’aspect technologique : nous devons être capables de tout livrer de A à Z. D’autre part, l’interaction sociale, tout le monde n’est pas ouvert au pair programming et il faut parfois chercher un compromis. »
Tom : « Quelles compétences sont indispensables dans ton rôle ? »
Steven : « Penser de manière logique, faire des compromis, accepter que la perfection n’existe jamais (et réussir à s’en accommoder) et être sociable. Nous nous critiquons beaucoup – vraiment beaucoup – entre nous, et avec des susceptibilités, on n’avance pas. Je me dis toujours : allez, ce n’est rien de personnel. Enfin, j’espère (rires).”
Tom : « Et pour finir : quel est le meilleur conseil professionnel que tu aies jamais reçu ? »
Steven : « Woah, je dois y réfléchir un peu (note de la rédaction : il réfléchit un peu plus longtemps que ‘un peu’). Eh bien, je pense que c’est qu’on m’ait incité à devenir indépendant. C’est toute une histoire, Tom, mais c’était la décision la plus intelligente de ma vie. »
Tom : « J’en suis fort heureux. Merci pour cet entretien ! »