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Interview mené par Tom Blight
Tom : “Café ou thé ?”
Sandra : “Café. Le café est this girl’s best friend, Tom (rires). Lorsque je sors le week-end et que je descends du métro au petit matin, mon nez m’emmène là où je dois aller. Vers ces petits bars locaux desquels émanent cette bonne odeur et où les bagels savoureux attirent mon attention”.
Tom : “Livre ou film ?”
Sandra : “Ouille, c’est un choix difficile. Je peux construire une petite tour Eiffel avec mes livres, et j’adore les feuilleter (ndlr : elle s’éclipse et revient avec quelques exemplaires et illustre ses propos par de nombreux exemples). Je dévore les romans de la première à la dernière page, mais je pourrais tout aussi bien lire quelques pages sur la science, le dessin ou autre et me dire : voilà, je suis devenue un peu plus maline (rires).
Tom : “Et si, par un malheur, tes livres partaient en flammes ?
Sandra : “Dans ce cas, je me consolerais avec des séries comme Games of Thrones ou Breaking bad (rires).
Tom : “Aha, une petite binge-watcheuse se cache en toi ? J’en déduis que tu es plutôt oiseau de nuit que lève-tôt ?”
Sandra : “Raté ! Je suis extrêmement matinale. Je me lève tous les jours à 5h30, parce qu’à 6 heures, je suis déjà en promenade avec mes deux shetland sheepdogs. Hop, une bonne demi-heure dans les bois. Et dès que je rentre à la maison, je commence ma gymnastique sur YouTube avec toutes ces dames frivoles qui enseignent pilates, yoga ou boxe. Et puis ma journée de travail peut enfin démarrer.”
Tom : “Passons maintenant au travail chez Codabox. Depuis combien de temps es-tu l’une des nôtres ?”
Sandra : “Presque quatre ans déjà. J’ai été séduite par le mélange de technologie et d’innovation. Je voulais travailler dans un environnement plus néerlandophone – je venais d’une boîte plutôt francophone – et Louvain était un lieu de travail fantastique. J’avais fait quelques recherches sur LinkedIn et j’ai vu une entreprise remplie de gens dotés d’une immense expérience.
Pas tous très jeunes, mais il y a une saine harmonie de cheveux gris et moins gris, haha. Je trouve toutes ces connaissances en interne particulièrement agréables. Quelle que soit ma question, j’obtiens toujours une réponse. J’ai déjà beaucoup appris ici, Tom”.
Tom : “Mais tu avais déjà un bon bagage en arrivant, n’est-ce pas, Sandra ?”
Sandra : “Si tu le dis (clin d’œil). J’ai travaillé dans les télécoms pendant 10 ans, dans l’IT encore avant. J’aimais beaucoup les télécoms, je collaborais avec des chaînes comme Krëfel, Vanden Borre, Mediamarkt.
Je vendais des téléphones mobiles et fixes pour des grossistes. J’ai la vente dans le sang, mon gars. Je travaille dans la vente depuis l’âge de 24 ans et j’ai lentement évolué dans ce rôle. J’ai commencé comme secrétaire chez Coca-Cola, tu imagines ?!
Mais je m’éloigne du sujet (ndlr : pour la quinzième fois ?). Ce qui est très important pour moi, c’est que les clients soient satisfaits. J’y consacre beaucoup de temps et d’énergie.”
Tom : “(rires également) Le rôle de Customer Success Account Manager te va donc comme un gant ?”
Sandra : “Oh oui. J’assure le suivi de nos clients existants dès qu’ils nous rejoignent. J’appelle, je visite, j’explique nos services : tout le bazar. Allez, pense à VOILA. Bientôt, la facturation électronique sera obligatoire et là, ils auront besoin de nous, tu vois ?”
“Je donne aussi des formations chez les clients, je vois comment ils travaillent et j’utilise immédiatement des exemples tirés de leur propre environnement MyCodabox. C’est plus personnel et ils comprennent plus vite ce que je leur veux (rires)”.
Tom : “Sandra, quels sont les trois mots qui décrivent ta manière de bosser ? Je pense immédiatement à : überenthousiaste ?”
Sandra : “Mmmh, je ne l’aurais pas mis comme ça. Mais écoute, Tom, les voici :
Tom : “Les clients mesurent-ils à quel point tu te démènes pour eux ?
Sandra : “Clairement. Je transmets aux collègues tous les points qui seraient susceptibles d’être améliorés. Les personnes concernées se penchent alors sur la question et vérifient ce qu’ils peuvent faire. Et crois-moi, nos clients le voient et l’apprécient. Ils sentent que nous les prenons au sérieux et c’est un atout de taille par les temps qui courent.”
“Nous avons également lancé récemment une table ronde. On a invité un certain nombre de clients à y participer, on réfléchit ensemble…
En fait, je suis une sorte de porte tournante sympathique. J’écoute, j’absorbe, je réponds et je transfère. Mon rôle fait vraiment la différence, Tom, et je ne dis pas cela avec arrogance, hein. Allez, peut-être un tout petit peu (rires bruyants)”.
Tom : “Sandra, quand tu es avec tes amis au coin du bar et qu’il est question de ton travail, comment décrirais-tu l’atmosphère de travail chez Codabox ?”
Sandra : “Aha. C’est un environnement très professionnel, avec des collègues incroyablement bons et sympas, tous différents mais qui vont dans la même direction.
On peut y être soi-même, on ne se retrouve pas mis dans des cases, il y a beaucoup de transparence, tout le monde est accessible. Sais-tu à quel point c’est unique ?”
Tom : “Je le sais (clin d’œil). Quel est – pour terminer en beauté – le meilleur conseil professionnel que tu as jamais reçu ?”
Sandra : “En anglais, cette fois : ‘speak out loud’. Toujours. Et vérifiez vos faits.
Pour une fois, je ne vais pas en rajouter (et elle rit à nouveau de bon cœur).
Tom : “Sandra, je suis épuisé mais très satisfait. Merci pour ton énergie inépuisable pendant cette discussion unique en son genre.”