Life at Codabox: Peter Verhaegen, Customer Support Representative

Intervieweur de service : Tom Blight 

Lorsque j’ai demandé à Peter Verhaegen si je pouvais lui mettre mon micro virtuel sous le nez pour une interview sans langue de bois, il a tout de suite été partant.

Un Customer Support Representative ayant les pieds sur terre, un roc dans l’univers de Codabox, et pour toujours un Ramone dans l’âme : en avant la musique !

Tom : “J’ai déjà eu l’occasion de discuter avec ton collègue Andy. L’intitulé de votre poste est identique : Customer Support Rep. Vous faites le même boulot ?” 
Peter : “Il y a quand même une légère différence. Andy s’occupe davantage de l’aspect technique des choses ; moi, je m’occupe plutôt des premiers soins administratifs, c’est-à-dire les clients qui ont des problèmes avec le système, des mandats, etc. Mais je suis bien le back-up d’Andy ”.

Tom : “Peter, lors de chaque entretien, je pose à mes invités des questions dont les enjeux nous dépassent. Alors : plutôt Jupiler Pro League ou National Football League (NFL) ?” 
Peter : “Ha, une question piège, mais j’y ai bien réfléchi : La Jupiler Pro League si le Club Brugge ne joue pas, c’est non ! NFL : go Dallas Cowboys !

Mais tu oublies la NBA, Tom ! Le basket est et reste ma plus grande passion.” 

Tom : “Ah oui, tiens ?”
Peter : “Oui, j’ai hérité de la passion de mon père pour les sports américains. J’avais cinq ans lorsque j’ai vu mon premier match de la NBA – alors disponible sur le câble.

Imposant. Spectaculaire. Bref, c’était vraiment mon truc. Basket, American football, baseball, let them all in (rire).” 

Life at Codabox: Peter Verhaegen, Customer Support Representative

Tom : “Rock Werchter ou Pukkelpop ?” 
Peter : “Les deux sont cool, mais je dirais Rock Werchter pour des raisons sentimentales

Mes parents habitent à 8 km de la plaine de Werchter, et depuis 1999 – je n’avais alors que 17ans –, je n’ai pas manqué une seule édition.” 

Tom : “ Et quel est l’artiste qui t’a le plus marqué ?” 
Peter : Ouch, j’ai vu et entendu tellement de bonnes choses là-bas. J’ai passé un excellent moment lors du show de Vitalic, un DJ français qui a vraiment mis le feu à la plaine. La folie ! Mais si tu me demandes à qui j’attribue l’Oscar du meilleur concert, je n’ai pas à réfléchir une seconde : Daft Punk au Pukkelpop. ”

Tom : “De la dance, donc. Marrant, je te croyais plutôt fan de Metallica, de rock plus rentre dedans.” 
Peter : “Ah, mais comme tu peux le voir à mes fringues, (n.d.t. : T-shirt Ramones), j’aime aussi les guitares lourdes et la batterie ; punk un jour, punk toujours !

En fait, mes goûts musicaux sont assez variés ; cela va de The Offspring à Paul McCartney en passant par Rage Against The Machine & Muse.” 

Tom : “La musique, une affaire de famille ?” 
Peter : “Si on veut, parce que ma famille, c’est moi et rien que moi. Je n’ai pas de frère ni de sœur, et ma famille est donc très petite (mes parents, quelques oncles et cousins ici et là que je vois de temps en temps) mais aussi très unie.” 

Tom : “ Passons donc aux loisirs. À quoi occupes-tu ton temps libre ?” 
Peter : “J’ai fait beaucoup de sport, surtout du basket, mais après 30 ans de pratique intensive, mon corps a tiré la sonnette d’alarme. Disons que mes genoux et mon dos ont connu des jours meilleurs.

Alors, pour répondre à ta question : soirées TV, soirées entre potes, et depuis quelque temps, je joue aux fléchettes– compétition, tout ça… (rire).” 

Tom : “Bien sûr ! Tiens, à une époque où les emoji remplacent les sentiments exprimés, lequel utilises-tu le plus souvent ?” 
Peter : “Le visage qui pleure de rire. J’adore les trucs débiles qui atterrissent dans mon smartphone. Ça me fait hurler de rire ! Mais bon, boys will be boys, pas vrai ?” 

Tom : “De quoi ne pourrais-tu absolument pas te passer ?”
Peter : “Si je devais vivre sans multimédia, je ne ferais pas long feu, Tom. GSM, PC… à l’heure actuelle, tout passe par internet, pas vrai ?” 

Tom : “Exact. Parce que sans internet, pas de Codabox, c’est aussi simple que ça. Quand as-tu rejoint le monde merveilleux de notre entreprise ?” 
Peter : “C’était le 27 mars 2017, je faisais partie de la première promotion de salariés. J’avais récemment perdu mon emploi, je cherchais un nouveau défi et par l’entremise d’un pote, j’ai pu passer un entretien avec la direction de l’époque. 

J’ai vite senti que le courant passait entre nous et que j’avais ma place ici. La façon dont ils ont éveillé mon intérêt, le domaine, les personnes de mon équipe – dont la plupart sont toujours là, d’ailleurs –, tout semblait aller de soi.” 

Tom : “Heureux de l’apprendre. Avant de nous gratifier de ta présence parmi nous, tu faisais le même genre de boulot ?”
Peter : “En réalité, j’ai fait des études de journalisme et j’ai donc d’abord cherché des emplois où je pouvais laisser libre cours à mes compétences linguistiques. En soi, je pouvais faire ce que je voulais et j’aimais le contact avec les clients.

Mais je suis un mec curieux. Aller goûter ces données clients dans un autre secteur me fascinait, alors voilà, the rest is history.” 

Tom : “ Comment décrirais-tu ton rôle chez Codabox ?” 
Peter : “Sans chercher à enjoliver les choses ? J’arrange ce que les clients ne parviennent pas à arranger eux-mêmes, haha.

En gros, nous avons créé une plateforme très conviviale et accessible qui permet généralement à nos clients de s’y retrouver. Mais bien sûr, l’erreur est humaine et rien n’est clair à 100% ; c’est pourquoi les clients s’adressent à notre équipe. 

Ma raison d’être, c’est de répondre aux questions des clients – par exemple, comment ajouter quelqu’un dans le système, pourquoi quelque chose ne tourne pas rond ou pourquoi il manque quelque chose (rires). Bref, je les aide à s’y retrouver.

Certaines demandes sont traitées rapidement, d’autres nécessitent plus de temps, ou j’ai besoin de l’avis de personnes extérieures. Mais la plupart des gens témoignent de leur gratitude et j’en retire une grande satisfaction.” 

Tom : “Peter, ta façon de travailler en 3 mots ?” 
Peter : “ Méthodique, calculateur tout en étant empathique. Mon travail est essentiellement de la logique pure, mais il y a bien sûr des personnes impliquées, et il ne faut jamais l’oublier.

Je pense que c’est ce qui fait la force de notre équipe ; nous restons ouverts et amicaux, qu’il s’agisse d’une question facile ou difficile. Rapides, professionnels et toujours avec le sourire. En fait, je serais super content d’être client chez nous (rire).” 

Tom : “ La culture de Codabox, en une phrase.” 
Peter : “Faire preuve de détermination. Tout donner, mais malgré tout trouver le temps de se détendre, de rire… et de râler de temps à autre !” 

Tom : “Et encore une dernière pour la route : quel est le meilleur conseil professionnel que tu aies jamais reçu ?” 
Peter : “Professionnel, je ne sais pas vraiment, mais en termes de leçon de vie : garder toujours la tête haute et regarder droit devant soi. ”

Dans un même ordre d’idées, mon idole Kobe Bryant a dit un jour : “The only thing you can control on the way to greatness, is how hard you work to achieve it

Tom : “ Cela pourrait figurer dans une biographie. Merci pour cet entretien chaleureux.” 

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