Adrien de Callataÿ : entre pizza, punk et passion pour la com’

Intervieweur de service : Tom Blight 

Faire des interviews chez Codabox, c’est un peu comme ouvrir une boîte à surprises. On pense bien connaître les collègues avec qui on partage des calls, des fichiers et des cafés… mais en creusant un peu, on découvre des facettes insoupçonnées.

Aujourd’hui, c’est Adrien de Callatay, notre spécialiste en communication, qui s’est prêté au jeu des questions-réponses.

Et autant vous prévenir : derrière son calme apparent, se cache un vrai festival à lui tout seul.

Tom : Pour commencer cette interview en douceur… Tu es plutôt guitare ou batterie ?
Adrien :
Génial comme intro ! Tu sais, j’ai toujours rêvé d’être musicien, mais ça ne s’est jamais vraiment concrétisé. Et si je dois choisir, je dirais batterie. Même si le batteur est souvent à l’arrière de la scène, il est essentiel. Sans lui, il manque un truc. C’est un peu comme moi dans le boulot : je ne cherche pas à être sur le devant de la scène, mais je suis toujours là, en soutien. Et puis, taper sur une batterie, ça défoule pas mal (rire).

Tom : Deux villes, deux ambiances : Brighton ou Austin ?
Adrien : J’ai des souvenirs incroyables dans les deux, des lieux reconnus pour leurs festivals musicaux. Mais Austin remporte la palme. C’est une ville vibrante, où on vit pleinement la musique, la fête, et… la passion du barbecue. Et je dois dire que ça me ressemble plutôt bien.

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Tom : Grand épicurien devant l’éternel, dis-nous tout : chef cuisinier ou client fidèle au resto ?
Adrien :
Les deux, mon capitaine ! J’ai suivi des cours de cuisine, et chez moi, c’est un peu l’annexe d’un resto. J’ai tout le matos : four à pizza, barbecue… Mais j’ai quand même un faible pour les restos. J’adore faire des découvertes, partager mes coups de cœur, et filer mes meilleures adresses à mes potes. Donc oui, resto.

Tom : Après une bonne bouffe, rien de tel qu’un peu de sport. Tu es plutôt marche ou foot ?
Adrien : Bon, vu que suis loin d’être sportif, je dirais la marche, sans hésiter. C’est mon moment à moi, loin de tout. J’habite à Villers-la-Ville, un coin superbe pour se balader. D’ailleurs, avec ma compagne, on s’est lancé un sacré défi : on a marché 100 km pour Oxfam dans la région de Saint-Hubert. Un vrai challenge, mais pour une belle cause.

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Tom: Muziekkeuze: indie rock of punk?

Adrien: Alles wat je niet op de radio hoort! Maar als ik écht moet kiezen, ga ik voor punk, ook al zie ik er niet zo uit (lacht). Muziek is essentieel voor me. Concerten, festivals… en ik organiseer zelfs een punkfestival, het SMG Music Fest. Klein beetje promotie mag wel, toch? (lacht)

Tom: Vertel eens wat over je persoonlijke leven.

Adrien: Graag! Ik ben al 20 jaar samen met Elo, mijn soulmate. We kennen elkaar door en door, zijn er altijd voor elkaar en blijven lachen, ook als het moeilijk gaat. Dat is onze manier om samen vooruit te gaan.

Tom :  Des passions communes ?

Adrien : Tellement ! On est deux bons vivants. On aime faire la fête, bien manger, bien boire… et surtout, on adore voyager. En Italie, notamment, où nous avons séjourné il y a quelques années et où l’on retourne dès que possible. La bonne bouffe, le calme, la douceur de vie… la dolce vita, quoi !

Tom :  J’imagine que c’est un peu ce que tu recherches aussi pour tes loisirs ?

Adrien : Ah, les loisirs… Disons qu’il y a deux Adrien. Celui qui a besoin de monde, de potes, de restos, de concerts, d’engagements… Et celui qui aime chiller à la maison, avec un bon bouquin, une course de Formule 1 ou de cyclisme à la télé, ou un vinyle qui tourne.

Tom : Tiens, quel est l’émoji que tu utilises le plus ?

Adrien : Celui qui lève les yeux au ciel. Parce qu’Elo a un humour… disons, très particulier (rire). Donc je lève souvent les yeux quand elle sort une énième blague foireuse. Mais je l’adore, évidemment.

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Tom : De quels objets ne pourrais-tu absolument pas te passer ?

Adrien : Mon four à pizza. Sans hésiter. Tu me donnes ça, quelques potes, une caisse de pinard… et je suis comblé (rire).

Tom :  Comme je te comprends (rire). Bon parlons un peu de boulot maintenant. Codabox & toi, ça remonte à quand ?

Adrien : Je suis freelance, et je collabore avec Codabox depuis… 2012. Ça commence à faire longtemps ! Au début, c’était quelques heures par semaine, et aujourd’hui, on est à 4 jours par semaine. Je fais partie des vieux meubles en fait (rire) !

Tom : C’est toi qui le dis (rire) ! Au départ qu’est-ce qui t’a attiré chez Codabox et aujourd’hui, qu’est-ce qui te motive à continuer ?

Adrien : J’ai un parcours un peu particulier. En fait, ce n’est pas moi qui ai choisi de travailler pour Codabox, c’est Codabox qui a choisi de travailler avec moi. Au départ, je ne connaissais rien au monde de la compta. C’est Martin, le fondateur – et ami – qui m’a embarqué dans l’aventure. Il m’a convaincu de me lancer comme freelance et de bosser sur la communication de Codabox. Et j’ai vite compris l’intérêt des services qu’on propose : quand tu vois le temps que les gens perdent à gérer leurs documents à la main… ça me rend fou !

Ce qui me plaît toujours aujourd’hui ? L’envie d’innover, la liberté d’essayer, le droit à l’erreur. Et le fait qu’on ait réussi à rendre fun un secteur qui ne l’est pas toujours, il faut bien l’avouer.

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Tom : Comment décrirais-tu ton rôle de Communication Spécialist ? 

Adrien : Beaucoup de gens de mon entourage n’ont aucune idée de ce que je fais. Alors je leur dis que je suis un couteau suisse marketing. Je touche à tout : stratégie, outils, contenu… J’ai une formation de journaliste, j’ai bossé en radio, sur le web. Du coup, je parle plusieurs ‘langues’ : celle des techniciens, des créateurs de contenu, des clients… notamment les experts-comptables.

Tom :  Et ta méthode de travail, en trois mots ?

Adrien : Discret, fonceur, et team player. Je suis du genre calme, mais j’aime quand ça avance vite. J’anticipe les problèmes. Et j’adore aider mes collègues, c’est ce qui me rend le plus fier : voir les autres réussir, en partie grâce à mon soutien.

Tom :  Finalement, quel est le profil d’un bon couteau suisse ?

Adrien : Faut vraiment comprendre notre environnement : compta et tech, deux mondes complexes et mouvants. Il faut rester à jour, être curieux, réactif, et surtout, apprendre à parler le langage du client. J’ai mis du temps à capter celui des comptables, mais aujourd’hui, je crois que je le maîtrise. Mon comptable me connaît mieux que mon médecin, c’est dire (rire) !

Tom : Ta plus grande satisfaction chez Codabox ?

Adrien : Les relations humaines. L’équipe, c’est un vrai moteur. Il y a de la confiance, de la complémentarité, le droit d’être en désaccord… et puis certains collègues sont devenus de vrais amis. Et ça, c’est précieux.

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Tom : Retrouves-tu dans le Codabox actuel les fondations du Codabox d’hier ?

Adrien : Codabox a beaucoup évolué : d’une start-up agile à une scale-up intégrée chez Wolters Kluwer. Certaines transitions ont été moins simples que d’autres, mais les fondations – comme l’autonomie ou le droit à l’erreur – sont toujours là.

Tom : Pour conclure : quel est le meilleur conseil qu’on t’ait donné ?

Adrien : Il y en a deux. Martin m’a dit un jour : ‘Ton objectif doit être d’aider les autres à atteindre le leur.’ Et mon père m’a toujours répété : ‘Quoi que tu fasses dans la vie, fais-le du mieux possible.’ Alors, je n’ai pas la prétention de dire que je suis le meilleur, loin de là, mais je me donne toujours à fond.

Tom : Merci pour ce super moment, Adrien !
Adrien : Avec plaisir. Et maintenant… on va se manger une pizza ?

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