Interview menée par Tom Blight
Tom : Tu es plutôt du matin ou du soir ?
Yasmina : Je suis une vraie lève-tôt. Week-end, vacances… peu importe : je suis réveillée avant tout le monde. Mais attention : jamais sans mon espresso ! Tant que je n’ai pas ma dose de caféine, je suis un zombie.
Tom : Tu préfères l’hiver ou l’été ?
Yasmina : Le printemps ! C’est, pour moi, l’équilibre parfait entre les canicules d’été et le froid mordant de l’hiver.
Tom : Télétravail ou ambiance bureau ?
Yasmina : Franchement, les deux me conviennent. À la maison, c’est en mode décontracté (comprenez par-là “en pyjama”). Mais j’aime tout autant venir au bureau retrouver mes collègues. Le contact humain, ça reste essentiel pour moi.
Tom : Et à la maison, il y a qui autour de Yasmina ?
Yasmina : Nous sommes quatre avec mes deux filles, Noor (15 ans) et Nurya (13 ans). Des ados en plein : maquillage, fashion drama, crise existentielle parce qu’un pull est soudainement devenu « affreux »…
Et le pire ? Elles me ressemblent beaucoup (rires).
Tom : Qu’est-ce qui rend votre famille spéciale ?
Yasmina : La famille, chez nous, c’est sacré. On est très soudés. C’est dans notre culture. Mes parents vivent principalement entre l’Espagne et le Maroc depuis leur retraite, et avec mes frères et sœurs, on se relaie pour les chouchouter lorsqu’ils reviennent. Ce n’est jamais une corvée, c’est un vrai plaisir.
Tom : Que fais-tu pendant ton temps libre ?
Yasmina : Le samedi, on sort en famille : balade, lèche-vitrine, resto… des plaisirs simples de la vie, hein.
Tom : Et le soir, après une journée chez Codabox ?
Yasmina : Qu’est-ce que tu crois ? Je file sous la douche et je renfile direct mon pyjama (rires). On cuisine chacun notre tour avec mon mari.
Et si je traîne un peu au bureau, c’est parfois juste pour éviter de devoir m’y coller (clin d’œil). Ensuite, je file dans le canapé avec une tasse de thé ou de café, et c’est parti pour une soirée Netflix. Je n’ai pas besoin de plus pour être heureuse.
Tom : Un objet dont tu ne pourrais jamais te passer ?
Yasmina : Ma voiture ! Même pour aller chercher du pain à 300 mètres de chez moi, je la prends. Je suis tellement paresseuse. Et puis mon téléphone, mais il vient loin derrière.
Tom : Depuis combien de temps es-tu chez Codabox ?
Yasmina : Presque 8 ans ! J’ai commencé en tant qu’intérimaire et j’ai été engagée après six mois.
Tom : Raconte un peu… qu’est-ce qui t’a attirée chez nous ?
Yasmina : Franchement, je n’avais aucune idée de ce que faisait Codabox. Digitalisation, fichiers CODA, fichiers Excel… euh, pardon !? J’étais donc certaine de n’avoir aucune chance. Le jour de mon entretien d’embauche, c’était un vendredi, on m’a demandé : « Tu peux commencer lundi ? »
Je me suis dit : “Ouhla… lundi, déjà !” (rires). Mais je n’ai jamais regretté.
Tom : Quelle chance nous avons eu ! C’était la meilleure décision de ta carrière ?
Yasmina : Sans aucun doute. Malgré les nombreux changements récents, l’esprit Codabox, la chaleur humaine, la complicité entre collègues, tout ça est toujours bien présent. Je suis épanouie dans mon équipe, et j’aime vraiment mon boulot.
Tom : Tu es Customer Support Rep, mais encore … ?
Yasmina : Chez Codabox, on est tous Customer Support Reps, mais chacun a ses spécialités. Moi, je gère l’administratif lié à la facturation de tous nos services : CODA, CARO, SODA, VOILA, VOICI… Je réponds aux mails, je décroche le téléphone à tour de rôle avec mes collègues, et même sur les questions techniques, je me débrouille plutôt bien (sauf quand c’est trop compliqué… là, je passe le flambeau à Andy !).
Tom : Comment fais-tu pour garder le cap dans la jungle du support client ?
Yasmina : Je commence par décoder la demande, parce qu’elle n’est pas toujours hyper claire. Et parfois, le client lui-même ne sait pas trop ce qu’il veut précisément (rires).
À partir de là, je cherche, je creuse, je vais voir dans les dossiers, j’anticipe… Et souvent, je règle des soucis dont le client n’était même pas conscient. La clé ? Être patiente, empathique et calme.
Parfois on se prend des râleries, mais en restant à l’écoute des clients, ils se détendent… et à la fin de la discussion, nous sommes presque devenus copains. Il faut apprendre à connaître ses clients, hein Tom (clin d’œil).
Tom : Et l’arrivée de Codabox dans la grande famille Wolters Kluwer ?
Yasmina : Oui, il y a eu beaucoup de changements, c’est vrai, personne ne peut le nier. Mais cette ambiance particulière qu’on a toujours eue chez Codabox, cette énergie, cette connexion avec les collègues, elle est toujours bien présente !
Tom : Un conseil pro qui t’a marquée ?
Yasmina : Oui, un conseil d’Ann, ma manager : “Sois proactive, ne pars pas du principe que tu sais tout. Regarde les choses sous différents angles, et tu comprendras bien mieux.” Dis, et mon conseil que j’ai envie de donner au monde entier, il t’intéresse ?
Souriez et prenez plaisir à ce que vous faites. C’est comme ça qu’on fait du bon boulot.
Tom : C’est noté, je vais directement m’en faire un fond d’écran. Merci Yasmina, pour cette belle discussion.
Chez Codabox, tout tourne autour de trois piliers : simplicité, rapidité et fiabilité. Notre mission ? Vous garantir un accès le plus easy possible aux données dont vous avez besoin.
Dans un monde qui évolue à tout vitesse, on préfère faire le choix de la sérénité. Alors que le secteur de la compta se digitalise à fond et que les nouvelles technologies se multiplient à vue d’œil, nous restons concentrés sur ce qui compte vraiment : vous aider à faire la différence auprès de vos clients, tous les jours.
Notre dernière enquête menée auprès de nos clients le confirme : vous attendez des solutions simples qui fonctionnent. Des outils qui vous font gagner du temps. Qui font ce qu’ils doivent faire. Punt. Voilà ce qui nous anime au quotidien.
On l’oublie parfois. Mais Codabox, c’est aussi plein de petites choses en plus. Des petits extras simples que vous ne trouvez nulle part ailleurs mais dont vous bénéficiez, juste comme ça. Et dont vous ne pouvez plus vous passer par la suite : fiabilité, qualité des données, support, intégrations, …
Tout le monde s’attarde sur le Net Promoter Score (NPS). Il s’agit d’un outil de référence utilisé pour mesurer la satisfaction des clients.
Dans notre secteur, le NPS moyen se situe généralement entre +20 et +40, avec des valeurs extrêmes supérieures à +50 pour les entreprises qui s’engagent fortement en faveur de l’expérience client.
Notre score est de +37, soit un score supérieur à la moyenne du secteur. Un excellent signe que nos clients apprécient travailler avec Codabox, même dans un secteur en pleine mutation. De nombreuses personnes interrogées recommandent vivement nos outils. Non pas par obligation, mais parce que nous ne faisons pas de fausses promesses à propos de nos produits.
Très concrètement, les experts-comptables sondés nous disent adooooorer par-dessus tout le service CODA. Quand on lit des réactions telles que “service indispensable pour la livraison automatique des relevés bancaires”, “gain de temps énorme” ou encore “facilité d’utilisation et d’intégration”, on se dit qu’on ne lève pas tous les matins pour rien.
Quand on découvre vos suggestions hyper pertinentes, on se dit que vous connaissez nos produits aussi bien que nous.
Citons dans le désordre : vous êtes demandeurs de fichiers CODA encore plus complets, d’une meilleure gestion des relevés manquants, une récupération plus rapide, toujours plus d’intégrations…
Vos remarques ont été reçues 5/5 et sont analysées par les services compétents.
Afin d’avoir une meilleure idée de ce qui agite le quotidien des experts-comptables belges -outre leur satisfaction à l’égard de Codabox-, nous en avons profiter pour leur poser quelques questions sur des sujets brûlants. Quelles sont leurs attentes en matière d’intelligence artificielle ? Comment perçoivent-ils l’essor de la facturation électronique ? Et quelles sont les évolutions qui font réellement la différence dans leur pratique quotidienne ?
Ce n’est plus un secret pour personne : Codabox bat désormais pavillon Wolters Kluwer. L’info est bien passée (89 % étaient au courant de l’acquisition) et cela ne vous fait globalement ni chaud ni froid : la majorité (67 %) reste neutre.
De notre côté, notre engagement ne change pas : nous continuerons à vous offrir le service que vous connaissez, désormais en faisant partie d’une plus grande famille.
Vous voyez laaaargement l’intelligence artificielle comme une opportunité pour votre secteur (73 %) !
Le plus grand bénéfice selon vous ? Le gain de temps (91 %) grâce à l’automatisation. Mais l’amélioration de la précision, la meilleure analyse des données et la réduction ne vous laissent pas non plus indifférents.
Et ça tombe bien, car Codabox a toujours eu pour mission de rendre votre travail plus efficace 😉.
L’échéance approche à grands pas. La facture électronique obligatoire, c’est pour demain ou presque. Vous êtes généralement en bonne voie (score de 70% en termes de préparation) pour l’échéance du 1er janvier 2026.
Mais votre plus grand défi, c’est de faire adhérer vos clients (78 %). Vous êtes aussi nombreux à réclamer plus de clarté, du soutien des autorités ainsi que des éditeurs de logiciels. Mais vous êtes également demandeurs d’outils abordables (voire gratuits). Bonne nouvelle : nos collègues de Clearfacts ont publié un e-book pratique pour vous aider à informer vos clients !
La difficulté à recruter et garder des talents reste un défi majeur dans votre secteur. La guerre des talents au sein des bureaux d’expertise-comptable fait rage. Raison de plus pour miser sur l’efficacité et l’automatisation.
Encore un grand merci aux 243 experts-comptables —issus en grande majorité de petites structures réparties équitablement des deux côtés de la frontière linguistique — ayant participé. Vos avis et suggestions sont précieux et nous aident réellement à avancer. Nous continuons à vous écouter et à travailler dur pour faire de Codabox le partenaire que vous méritez.
Et ces chaussettes Codabox, me direz-vous ? Elles arrivent chez vous dans les prochaines semaines et ne sont pas faites pour rester cachées ! Enfilez-les, prenez votre meilleur “sockfie”, partagez-la sur LinkedIn ou Instagram avec le hashtag #CodaSocks et montrez que vous faites partie de la communauté d’experts-comptables les plus stylés du pays !
Entretien mené par Tom Blight
Tom : “Es-tu plutôt du matin ou oiseau de nuit ?”
Julie : “Je suis une matinale. Me lever tôt, savourer un café serré en regardant le soleil se lever, c’est un petit rituel qui me plaît. Et puis, avec cette grande baie vitrée devant moi, impossible de l’ignorer !”
Tom : “Plutôt techno ou rock ?”
Julie : “Mmmh, choix difficile, il y a tellement de bonne musique dans des styles différents. Petit aveu : chaque vendredi, je me plonge dans les nouvelles sorties albums de la semaine. Mais si je devais répondre franchement, je dirais que je me retrouve surtout dans le post-punk-hardcore. Ces genres ont marqué mon adolescence, et c’est par la musique que j’ai rencontré la plupart de mes amis. Cela dit, j’adore aussi The National et je ne crache pas sur un bon album de hip-hop de temps en temps.”
Tom : “Que pourrais-tu nous révéler à propos de ta vie affective ?”
Julie : “Je vis dans une famille recomposée. Mon compagnon a une fille, et moi j’ai apporté mon chat. Nous formons donc une joyeuse tribu à quatre ! (rires)
Nous avons tous les deux un amour inconditionnel pour la France. Chaque année, sans exception, nous partons vers le sud. Entre deux voyages, nous profitons de randonnées en Normandie, déambulons dans les rues de Paris. La culture, les boutiques, la gastronomie… on aime tout là-bas. Une véritable histoire d’amour, Tom.”
Tom : “Et comment occupes-tu ton temps libre ?”
Julie : “Oooh, ça : les concerts font partie intégrante de ma vie. Mon père est photographe de concerts et j’ai hérité de sa passion pour la musique. Outre ça, je suis une cinéphile et sériphile invétérée, héhé. Regarder une bonne série ou un film tout en tricotant ou crochetant, c’est un de mes petits péchés mignons.”
Tom : “Tu sembles avoir trouvé chez Codabox un lieu qui te correspond parfaitement.”
Julie : “Quand je suis venue passer mon premier entretien d’embauche, je ne savais pas trop à quoi m’attendre. Ce qui m’a frappée dès le départ, c’est l’ambiance exceptionnelle qui règne ici. Codabox a toujours été mon premier grand amour professionnel. J’y ai reçu des opportunités d’évolution incroyables, j’ai vu le secteur de la compta se transformer sous mes yeux. C’est passionnant ! Chacun ici a son propre style, mais nous avons tous le même enthousiasme. Et nous faisons du bon boulot, haha !”
Tom : “Ton badge mentionne ‘Customer Support Representative’. Comment expliques-tu ton métier à tes proches ?”
Julie : “Ç fait des années que je travaille dans ce secteur et pourtant, mes amis et ma famille ne comprennent toujours pas vraiment ce que je fais. Ma mère dirait que je suis entre la comptabilité et l’informatique, et que je passe mon temps au téléphone ou à envoyer des mails.
Mais expliquer ce qu’est Codabox à un novice, ce n’est pas une mince affaire. Il y a tellement d’infos à partager… et souvent, mes interlocuteurs ont déjà décroché avant que j’aie fini !” (rires)
Tom : “Quel est ton plus grand défi, professionnellement parlant ?”
Julie : “Faire face aux frustrations quotidiennes des clients. Nous sommes en première ligne et recevons parfois des réactions à chaud, souvent sans filtre. C’est compréhensible : on ne contacte généralement pas un service client pour dire que tout est rose. Mais lorsqu’un problème arrive, nous devons préparer nos réponses et faire preuve de patience. Il faut non seulement fournir des solutions, mais aussi rassurer nos interlocuteurs en leur montrant que nous sommes vraiment à leur écoute.”
Tom : “Quelles compétences sont essentielles pour exceller dans ton métier ?”
Julie : “L’empathie. L’implication. Pouvoir communiquer de manière transparente. Et une bonne dose d’introspection. Je me remets souvent en question, probablement parce que j’évolue dans ce domaine depuis longtemps. Je me demande souvent ce que j’aurais pu faire ou dire d’autre, comment j’aurais pu voir les choses d’une autre perspective, ce genre de trucs quoi.”
Tom : “À quoi ressemble la culture d’entreprise chez Codabox ?”
Julie : “Un endroit où je me sens chez moi. Les collègues sont très investis et la communication fonctionne bien. Ce n’est pas si courant de pouvoir compter sur tout le monde, crois-moi. J’ai travaillé ailleurs, je sais que ce n’est pas une évidence. L’entraide et la solidarité sont dans l’ADN de Codabox. En ce moment, nous préparons l’arrivée de la facturation électronique et c’est stimulant de faire tout ce chemin ensemble.”
Tom : “As-tu reçu un conseil professionnel qui te sert encore au quotidien ?”
Julie : “J’aimerais te sortir une citation percutante, mais ce n’est pas trop mon style. Si je devais résumer, je dirais un truc comme : prends les choses comme elles viennent.
Il y a des jours avec et des jours sans. J’ai appris à ne pas trop me forcer, à avancer pas à pas. J’étais plus impulsive avant, et c’est intéressant de comparer les deux Julie, de constater à quel point j’ai évolué. Oula, je commence à parler comme une experte en mindfulness !” (rire gras)
Tom : “Je suis conquis par cette discussion sincère et inspirante. Merci, Julie. Namasté !”
Interviewé par : Tom Blight
Tom : « Guitare ou batterie ? »
Stijn : « Guitare. J’ai commencé par la batterie, mais j’avais envie d’écrire ma propre musique. Et un batteur qui compose, ça me semble plutôt rare. »
Tom : « Heavy metal ou ballades romantiques langoureuses ? »
Stijn : « Heavy metal. Mais j’apprécie plein d’autres styles de musique, hein. Oui oui, même une Taylor Swift fait partie du lot. »
Tom : « On est au comptoir en train de philosopher. Tu prends quoi : mezcal ou tequila ? »
Stijn : « Mezcal, j’adore ce côté fumé qu’on retrouve aussi dans le whisky : un pur délice. »
Tom : « Raconte-moi un peu ta vie de famille, Stijn. »
Stijn : « Je vis avec ma compagne Katrien à Malines. Nous sommes parrains de Melanie, une petite fille du Paraguay. À la maison, on a deux chats adoptés, Cheddar et Raclette, et je suis aussi le parrain d’un cochon, Wabbe. »
Tom : « Ah ah ! Vu le nom de tes chats, j’imagine que vous êtes de grands fans de fromage ? »
Stijn : « Tout juste, Tom. Il y a quelques années, on est allés à un festival du fromage en Italie, organisé par un mouvement slow food. Imagine : toute une ville plongée dans l’univers du fromage. Le paradis sur Terre, que je te dis ! (rires). Et attends, c’est pas tout. On planifie aussi nos voyages en fonction du fromage. Récemment, on est allés à Camembert, par exemple. Chacun son truc, non ? »
Tom : « Carrément. À part le tourisme fromager, tu fais quoi de ton temps libre ? »
Stijn : « Je joue dans un groupe. On écrit nos propres morceaux, on fait des concerts et on essaie de sortir un album tous les x années. Le dernier date de 2022 et là, on bosse à fond sur du nouveau matos. Ce côté créatif collectif – je laisse les paroles aux autres, moi je préfère balancer des riffs bien tranchants – c’est vraiment ce qui me fait vibrer. »
Tom : « Et le groupe s’appelle… ? »
Stijn : « Witch Piss. »
Tom : « Euh, pardon ? »
Stijn : « Haha, c’est inspiré d’une série française sur Netflix qui parle de sorcières. À un moment donné, l’une d’elles – une sorcière, donc – se met à pisser sans raison. Et voilà, l’idée du nom était née. »
Tom : « À part Witch Piss, comment tu décompresses après une journée bien remplie ? »
Stijn : « Déjà dans le train, je lis ou je mate une série. Ensuite, à la maison, je me mets aux fourneaux – c’est souvent moi qui cuisine, et j’adore ça, c’est mon moment de détente. Et le soir, tu me trouveras devant la télé. Je suis un gros fan de films et de séries, surtout des nanars des années 80. L’horreur et tout ce qui va avec… j’adore ! »
Tom : « Complète la phrase : je ne peux pas vivre sans… ? »
Stijn : « Katrien. Je marque des points là, non ? (rires). Bon, si on parle d’objets, je ne suis pas trop attaché aux choses matérielles. Je pourrais me passer de ma guitare… même si bon, ce serait quand même un sacré coup dur. »
Tom : « Ça colle bien au mec no-nonsense que je connais au bureau. Depuis combien de temps es-tu un Codaboxer ? »
Stijn : « Depuis 2013. À l’époque, je suivais une formation d’employé administratif via le VDAB (Forem en Flandre, ndlr), notamment pour améliorer mon français et me rendre plus attractif sur le marché du travail. J’ai une maîtrise en arts plastiques ; on ne va pas se mentir, ce n’est pas le genre de diplôme qui fait rêver les employeurs. La formation était tellement hor-ri-ble que j’ai postulé à tout ce qui bougeait. Codabox – qui se trouvait à côté de chez moi, ce qui tombait bien – m’a repêché. »
Tom : « Qu’est-ce qui t’a attiré chez eux ? »
Stijn : « Honnêtement ? Je voulais juste fuir cette formation. J’aurais accepté n’importe quoi. (Note de la rédaction : et il ajoute, imperturbable : “Bon, dit comme ça, ça fait un peu foireux.”) »
Tom : « Est-ce que ta motivation a un peu évolué depuis ? »
Stijn : « Affirmatif, Tom. Codabox est une entreprise de niche dans un secteur qui évolue hyper vite, et ça me passionne. Depuis le début, je suis en contact avec les clients, et ça donne du dynamisme à mon job. Aider les gens et entendre qu’ils sont vraiment contents, c’est super gratifiant. »
Tom : « C’est quoi ton job au quotidien en tant que Customer Support Rep ? »
Stijn : « J’ai un rôle bien précis. On peut me considérer comme un Inside Sales Support ; je commence là où le travail des commerciaux se termine. Ils ont conclu l’affaire, et moi je prépare tout le nécessaire dans le système pour que le client puisse commencer à travailler avec nos outils. Une grande partie de mon job concerne aussi les fusions et acquisitions : les bureaux comptables qui rachètent d’autres bureaux, les indépendants qui passent en société… Il y a beaucoup d’administratif derrière, et c’est là que j’interviens. »
Tom : « Donc tu gères tout le back-end, la plateforme MyCodabox, la facturation… tout ça, c’est sous ton aile ? »
Stijn : « Je n’aurais pas pu mieux le dire, Tom. »
Tom : « Codabox a grandi à une vitesse folle après son lancement. Ça a changé ta façon de bosser ? »
Stijn : « L’entreprise a effectivement grandi super vite. Mais les deux premières années où j’ai travaillé ici, on ne recrutait presque pas. Je n’avais pas réalisé que le nombre de clients avait presque triplé depuis la création. J’ai donc lutté pendant un moment avec l’idée que c’était moi qui ne faisais pas bien les choses. Quoi qu’il en soit, j’ai découvert que la structure et la clarté sont très importantes pour moi. C’est pourquoi j’écris aussi beaucoup et je le mets dans des tableaux récapitulatifs clairs ; ça m’aide et ça aide aussi les collègues. Est-ce que j’ai l’air d’un lèche-bottes maintenant, Tom (petit rire d’auto-dérision) ? »
Tom : « C’est quoi ta plus grande frustration au boulot ? »
Stijn : « Que tout le monde ne bosse pas comme moi. Je ne supporte pas la lenteur – et mon job implique BEAUCOUP d’attente. Alors je harcèle les gens pour obtenir des infos, mais toujours avec diplomatie. Apparemment, j’ai un air calme et posé… Si ça me permet d’arriver plus vite à mes fins, tant mieux (rires). »
Tom : « Une petite victoire dont tu es fier ? »
Stijn : « Honnêtement, chaque fusion que je gère est une victoire. Parfois, ça se règle en une journée alors que parfois, ça traîne pendant des mois. Et tu sais à quel point j’adore attendre, hein, Tom ? »
Tom : « Comment as-tu vu la culture d’entreprise évoluer ? »
Stijn : « Au début, c’était très décontracté, presque familial. Avec le temps, on s’est structurés, mais l’ambiance reste unique. On est et on restera un groupe soudé et super sympa. »
Tom : « Belle conclusion. Merci pour cet entretien… rock’n’roll ! »
Interviewer de service : Tom Blight
Tom : « Alors Stein, qu’est-ce qui te plaît le plus : entretenir ton potager ou tondre la pelouse ? »
Stein : « M’occuper de mon potager, sans la moindre hésitation. C’est là qu’on voit vraiment la vie prendre racine et s’épanouir ».
Tom : « Tu partages souvent tes tomates fraîches au bureau, et franchement, je dois dire qu’elles sont délicieuses. Un produit de qualité ! »
Stein : « Ah, ces tomates cerises ont une valeur sentimentale. Mon parrain, qui n’est plus parmi nous, cultivait une variété introuvable en magasin. Les graines ont été distribuées dans la famille et je continue à les faire pousser. À chaque bouchée, je pense à lui ».
Tom : « De beaux souvenirs. Passons des légumes aux petites bêtes : tu préfères éliminer les nuisibles dans ton jardin ou traquer les bugs dans un logiciel ? »
Stein : « Les bugs informatiques, bien sûr ! Je les adore (rires). Sans eux, je n’aurais pas de travail. Alors, quand j’en trouve un, je suis ravi ».
Tom : « Côté famille, y a-t-il une demoiselle qui partage tes jours (et tes nuits, bien sûr) ? »
Stein : « Oui, je suis marié depuis 11 ans. Nous n’avons pas d’enfants, un choix délibéré, mais nous sommes parrains de deux enfants en Afrique, que nous soutenons financièrement pour leur offrir un peu plus de chance dans la vie. Sinon, ma famille est assez restreinte, on ne se voit pas souvent, mais on peut compter les uns sur les autres. Et bien sûr, on échange aussi nos légumes, haha ».
Tom : « Tu fais aussi du bénévolat, non ? »
Stein : « Oui, je suis bénévole dans une bibliothèque à Holsbeek comme formateur digital. Les gens, surtout des seniors, viennent avec leurs questions sur les ordinateurs, smartphones ou Internet. C’est une super manière de rencontrer des gens et de les aider ».
Tom : « Quel objet est aussi indispensable à ton quotidien qu’un bug informatique ? »
Stein : « Au bureau, mon casque audio. En open space, ça peut vite devenir bruyant, alors ça m’aide à rester concentré. Et à la maison, ma débroussailleuse. Qu’est-ce que tu crois ? Dégager les chemins dans mon jardin sans ça, c’est mission impossible (rires) ».
Tom : « Depuis combien de temps travailles-tu chez Codabox ? »
Stein : « Un peu plus de cinq ans ».
Tom : « Qu’est-ce qui t’a séduit chez nous ? »
Stein : « Honnêtement ? À l’époque, j’en avais marre de faire la navette entre chez moi et mon ancien boulot à Bruxelles (rires). Mais ce n’est pas la seule raison, hein. Collaborer avec des développeurs au sein d’une équipe, ça me plaît énormément. Ce n’était pas toujours le cas avant, où les testeurs restaient souvent isolés ».
Tom : « À quoi ressemblait ton histoire professionnelle avant d’arriver ici ? »
Stein : « J’ai étudié l’électronique et l’un de mes premiers emplois, il y a plus de 20 ans, était chez Siemens. J’ai commencé comme testeur logiciel un peu par hasard, mais j’ai appris sur le tas et je trouve ce métier toujours aussi fascinant. Le job a beaucoup évolué depuis lors, mais l’essence du test reste la même ».
Tom : « En quoi consiste ton rôle de Software Test Engineer ? »
Stein : « Mon objectif principal est de garantir la qualité finale du software. Une partie de mon travail consiste à tester manuellement les fonctionnalités en cliquant à gauche et à droite. Mais en fait, la plupart du temps, je développe des scripts automatisés. Ces scripts s’exécutent quotidiennement et détectent les éventuels problèmes ou changements à corriger ».
Tom : « Comment décrirais-tu ton style de travail, Stein ? Trois choses. »
Stein : « Passion (il réfléchit, ndlr). Mmmh, c’est compliqué (petit rire). Réflexion pour aborder les problèmes sous un angle différent de celui des développeurs. Et en trois : mémorisation.
Parfois, ça fait un quart d’heure que tu es en train de cliquer un peu partout, et tout d’un coup le système t’affiche « erreur ». Il faut se rappeler précisément ce qu’on a fait pour reproduire la situation. Heureusement, j’ai une mémoire d’éléphant, haha.
Ah, et encore une quatrième chose : mes collègues diraient probablement que je suis un peu impatient parfois ».
Tom : « Tu te lèves tous les jours de bonne humeur à l’idée de commencer une nouvelle journée chez Codabox. Qu’est-ce qui te procure le plus de satisfaction ? »
Stein : « Voir les résultats. Vous donnez vos feedbacks et, au bout de quelques heures ou jours, vous voyez les ajustements dans le software. Quand ça commence à marcher, c’est sympa. Voir combien de nouvelles configurations sont chargées dans le logiciel, c’est très gratifiant ».
Tom : « Avec quelle success story vas-tu m’épater ? »
Stein : « L’an dernier, on a pas mal travaillé sur les fondations de MyCodabox. Ça a pris un peu de temps, mais le résultat est là, et les experts-comptables n’ont presque rien remarqué pendant la transition.
Autre petit succès : il y a quelques années, nous avons commencé à automatiser les tests. Nous avons beaucoup discuté au sein de l’équipe ainsi qu’avec d’autres équipes. Nous sommes basés sur ces discussions. Aujourd’hui, une grande partie des fonctionnalités de MyCodabox est testée automatiquement chaque jour. C’est un grand pas en avant.”
Tom : « Comment décrirais-tu la culture d’entreprise ici ? »
Stein : « Très ouverte. Tout le monde se connaît, on est tous sur le même étage, ce qui facilite les échanges. On a un peu l’impression d’être chez soi, c’est agréable (rires) ».
Tom : « Pour conclure, le meilleur conseil professionnel que tu aies reçu ? »
Stein : « Au tout début de ma carrière, quelqu’un m’a dit : ‘Ce qui compte, ce n’est pas ce que tu connais, mais bien qui tu connais.’ En gros, un bon réseau, c’est essentiel. Encore aujourd’hui, je reste en contact avec des gens rencontrés il y a longtemps. Et on s’entraide dès qu’on peut. Ça, c’est précieux ».
Tom : « Merci pour cet entretien authentique et inspirant, Stein. Toi aussi, tu es précieux ! »
Intervieweur de service : Tom Blight
Tom : “J’ai déjà eu l’occasion de discuter avec ton collègue Andy. L’intitulé de votre poste est identique : Customer Support Rep. Vous faites le même boulot ?”
Peter : “Il y a quand même une légère différence. Andy s’occupe davantage de l’aspect technique des choses ; moi, je m’occupe plutôt des premiers soins administratifs, c’est-à-dire les clients qui ont des problèmes avec le système, des mandats, etc. Mais je suis bien le back-up d’Andy ”.
Tom : “Peter, lors de chaque entretien, je pose à mes invités des questions dont les enjeux nous dépassent. Alors : plutôt Jupiler Pro League ou National Football League (NFL) ?”
Peter : “Ha, une question piège, mais j’y ai bien réfléchi : La Jupiler Pro League si le Club Brugge ne joue pas, c’est non ! NFL : go Dallas Cowboys !
Mais tu oublies la NBA, Tom ! Le basket est et reste ma plus grande passion.”
Tom : “Ah oui, tiens ?”
Peter : “Oui, j’ai hérité de la passion de mon père pour les sports américains. J’avais cinq ans lorsque j’ai vu mon premier match de la NBA – alors disponible sur le câble.
Imposant. Spectaculaire. Bref, c’était vraiment mon truc. Basket, American football, baseball, let them all in (rire).”
Tom : “Rock Werchter ou Pukkelpop ?”
Peter : “Les deux sont cool, mais je dirais Rock Werchter pour des raisons sentimentales
Mes parents habitent à 8 km de la plaine de Werchter, et depuis 1999 – je n’avais alors que 17ans –, je n’ai pas manqué une seule édition.”
Tom : “ Et quel est l’artiste qui t’a le plus marqué ?”
Peter : “Ouch, j’ai vu et entendu tellement de bonnes choses là-bas. J’ai passé un excellent moment lors du show de Vitalic, un DJ français qui a vraiment mis le feu à la plaine. La folie ! Mais si tu me demandes à qui j’attribue l’Oscar du meilleur concert, je n’ai pas à réfléchir une seconde : Daft Punk au Pukkelpop. ”
Tom : “De la dance, donc. Marrant, je te croyais plutôt fan de Metallica, de rock plus rentre dedans.”
Peter : “Ah, mais comme tu peux le voir à mes fringues, (n.d.t. : T-shirt Ramones), j’aime aussi les guitares lourdes et la batterie ; punk un jour, punk toujours !
En fait, mes goûts musicaux sont assez variés ; cela va de The Offspring à Paul McCartney en passant par Rage Against The Machine & Muse.”
Tom : “La musique, une affaire de famille ?”
Peter : “Si on veut, parce que ma famille, c’est moi et rien que moi. Je n’ai pas de frère ni de sœur, et ma famille est donc très petite (mes parents, quelques oncles et cousins ici et là que je vois de temps en temps) mais aussi très unie.”
Tom : “ Passons donc aux loisirs. À quoi occupes-tu ton temps libre ?”
Peter : “J’ai fait beaucoup de sport, surtout du basket, mais après 30 ans de pratique intensive, mon corps a tiré la sonnette d’alarme. Disons que mes genoux et mon dos ont connu des jours meilleurs.
Alors, pour répondre à ta question : soirées TV, soirées entre potes, et depuis quelque temps, je joue aux fléchettes– compétition, tout ça… (rire).”
Tom : “Bien sûr ! Tiens, à une époque où les emoji remplacent les sentiments exprimés, lequel utilises-tu le plus souvent ?”
Peter : “Le visage qui pleure de rire. J’adore les trucs débiles qui atterrissent dans mon smartphone. Ça me fait hurler de rire ! Mais bon, boys will be boys, pas vrai ?”
Tom : “De quoi ne pourrais-tu absolument pas te passer ?”
Peter : “Si je devais vivre sans multimédia, je ne ferais pas long feu, Tom. GSM, PC… à l’heure actuelle, tout passe par internet, pas vrai ?”
Tom : “Exact. Parce que sans internet, pas de Codabox, c’est aussi simple que ça. Quand as-tu rejoint le monde merveilleux de notre entreprise ?”
Peter : “C’était le 27 mars 2017, je faisais partie de la première promotion de salariés. J’avais récemment perdu mon emploi, je cherchais un nouveau défi et par l’entremise d’un pote, j’ai pu passer un entretien avec la direction de l’époque.
J’ai vite senti que le courant passait entre nous et que j’avais ma place ici. La façon dont ils ont éveillé mon intérêt, le domaine, les personnes de mon équipe – dont la plupart sont toujours là, d’ailleurs –, tout semblait aller de soi.”
Tom : “Heureux de l’apprendre. Avant de nous gratifier de ta présence parmi nous, tu faisais le même genre de boulot ?”
Peter : “En réalité, j’ai fait des études de journalisme et j’ai donc d’abord cherché des emplois où je pouvais laisser libre cours à mes compétences linguistiques. En soi, je pouvais faire ce que je voulais et j’aimais le contact avec les clients.
Mais je suis un mec curieux. Aller goûter ces données clients dans un autre secteur me fascinait, alors voilà, the rest is history.”
Tom : “ Comment décrirais-tu ton rôle chez Codabox ?”
Peter : “Sans chercher à enjoliver les choses ? J’arrange ce que les clients ne parviennent pas à arranger eux-mêmes, haha.
En gros, nous avons créé une plateforme très conviviale et accessible qui permet généralement à nos clients de s’y retrouver. Mais bien sûr, l’erreur est humaine et rien n’est clair à 100% ; c’est pourquoi les clients s’adressent à notre équipe.
Ma raison d’être, c’est de répondre aux questions des clients – par exemple, comment ajouter quelqu’un dans le système, pourquoi quelque chose ne tourne pas rond ou pourquoi il manque quelque chose (rires). Bref, je les aide à s’y retrouver.
Certaines demandes sont traitées rapidement, d’autres nécessitent plus de temps, ou j’ai besoin de l’avis de personnes extérieures. Mais la plupart des gens témoignent de leur gratitude et j’en retire une grande satisfaction.”
Tom : “Peter, ta façon de travailler en 3 mots ?”
Peter : “ Méthodique, calculateur tout en étant empathique. Mon travail est essentiellement de la logique pure, mais il y a bien sûr des personnes impliquées, et il ne faut jamais l’oublier.
Je pense que c’est ce qui fait la force de notre équipe ; nous restons ouverts et amicaux, qu’il s’agisse d’une question facile ou difficile. Rapides, professionnels et toujours avec le sourire. En fait, je serais super content d’être client chez nous (rire).”
Tom : “ La culture de Codabox, en une phrase.”
Peter : “Faire preuve de détermination. Tout donner, mais malgré tout trouver le temps de se détendre, de rire… et de râler de temps à autre !”
Tom : “Et encore une dernière pour la route : quel est le meilleur conseil professionnel que tu aies jamais reçu ?”
Peter : “Professionnel, je ne sais pas vraiment, mais en termes de leçon de vie : garder toujours la tête haute et regarder droit devant soi. ”
Dans un même ordre d’idées, mon idole Kobe Bryant a dit un jour : “The only thing you can control on the way to greatness, is how hard you work to achieve it”
Tom : “ Cela pourrait figurer dans une biographie. Merci pour cet entretien chaleureux.”
Chez Codabox, on a toujours été à la pointe en matière de sécurité. Récemment, on a mis en place la vérification en deux étapes (2FA) pour MyCodabox afin de renforcer davantage la protection des données de vos clients.
Tom, notre reporter maison est allé à la rencontre de Stefaan Indevuyst, expert-comptable chez ACCTO, pour discuter de l’impact de cette mise à jour de sécurité.
Stefaan Indevuyst : Chez ACCTO, nous sommes vraiment satisfaits des changements qu’on a pu tester sur la plateforme de Codabox.
La structure est désormais plus claire, mieux organisée et plus simple, ce qui nous permet de mettre en place une gestion centralisée et complète.
Cela concerne non seulement les différents environnements et administrations, mais aussi les utilisateurs et les administrateurs. Attribuer les bons droits d’accès à la bonne personne est essentiel pour une politique de sécurité solide.
Stefaan Indevuyst : Ces dernières années, chez ACCTO, on a beaucoup investi dans la sécurité et on a donc évalué toute notre politique IT.
Dans ce cadre-là, la 2FA est devenue une évidence. Tout le monde sait qu’on ne peut plus s’en passer de nos jours. Chez nous, l’activation de la 2FA fait partie intégrante de chaque installation. C’est juste devenu un automatisme.
Surtout, le processus 2FA sur MyCodabox est vraiment simple, ce qui permet à chacun de l’activer facilement.
Je trouve aussi très pratique de pouvoir voir en tant qu’administrateur qui utilise vraiment la 2FA. On insiste auprès de nos collaborateurs afin qu’ils l’utilisent OBLIGATOIREMENT.
Stefaan Indevuyst : De notre côté, on pense qu’on pourrait aller encore plus loin ; la 2FA ne devrait même pas être une option, mais bien une obligation pour chaque utilisateur de MyCodabox.
Et tant qu’on y est : dans notre environnement Office365 (Azure), on fonctionne avec un processus Single-Sign-On (SSO). Ce serait vraiment pratique si on pouvait le lier à la procédure de connexion de Codabox. Ainsi, dès qu’une personne est bloquée dans notre environnement Azure, son accès serait automatiquement bloqué dans MyCodabox.
Je vais peut-être un peu vite en besogne, mais cet ajout dans votre politique 2FA serait bienvenu pour nous.
La vérification en deux étapes pour MyCodabox est un grand pas en avant pour sécuriser vos données. On vous encourage vivement à activer cette fonctionnalité.
Dans notre FAQ, vous trouverez toutes les infos pour activer la 2FA en un clin d’œil pour votre bureau !
Interview mené par Tom Blight
Tom : “Café ou thé ?”
Sandra : “Café. Le café est this girl’s best friend, Tom (rires). Lorsque je sors le week-end et que je descends du métro au petit matin, mon nez m’emmène là où je dois aller. Vers ces petits bars locaux desquels émanent cette bonne odeur et où les bagels savoureux attirent mon attention”.
Tom : “Livre ou film ?”
Sandra : “Ouille, c’est un choix difficile. Je peux construire une petite tour Eiffel avec mes livres, et j’adore les feuilleter (ndlr : elle s’éclipse et revient avec quelques exemplaires et illustre ses propos par de nombreux exemples). Je dévore les romans de la première à la dernière page, mais je pourrais tout aussi bien lire quelques pages sur la science, le dessin ou autre et me dire : voilà, je suis devenue un peu plus maline (rires).
Tom : “Et si, par un malheur, tes livres partaient en flammes ?
Sandra : “Dans ce cas, je me consolerais avec des séries comme Games of Thrones ou Breaking bad (rires).
Tom : “Aha, une petite binge-watcheuse se cache en toi ? J’en déduis que tu es plutôt oiseau de nuit que lève-tôt ?”
Sandra : “Raté ! Je suis extrêmement matinale. Je me lève tous les jours à 5h30, parce qu’à 6 heures, je suis déjà en promenade avec mes deux shetland sheepdogs. Hop, une bonne demi-heure dans les bois. Et dès que je rentre à la maison, je commence ma gymnastique sur YouTube avec toutes ces dames frivoles qui enseignent pilates, yoga ou boxe. Et puis ma journée de travail peut enfin démarrer.”
Tom : “Passons maintenant au travail chez Codabox. Depuis combien de temps es-tu l’une des nôtres ?”
Sandra : “Presque quatre ans déjà. J’ai été séduite par le mélange de technologie et d’innovation. Je voulais travailler dans un environnement plus néerlandophone – je venais d’une boîte plutôt francophone – et Louvain était un lieu de travail fantastique. J’avais fait quelques recherches sur LinkedIn et j’ai vu une entreprise remplie de gens dotés d’une immense expérience.
Pas tous très jeunes, mais il y a une saine harmonie de cheveux gris et moins gris, haha. Je trouve toutes ces connaissances en interne particulièrement agréables. Quelle que soit ma question, j’obtiens toujours une réponse. J’ai déjà beaucoup appris ici, Tom”.
Tom : “Mais tu avais déjà un bon bagage en arrivant, n’est-ce pas, Sandra ?”
Sandra : “Si tu le dis (clin d’œil). J’ai travaillé dans les télécoms pendant 10 ans, dans l’IT encore avant. J’aimais beaucoup les télécoms, je collaborais avec des chaînes comme Krëfel, Vanden Borre, Mediamarkt.
Je vendais des téléphones mobiles et fixes pour des grossistes. J’ai la vente dans le sang, mon gars. Je travaille dans la vente depuis l’âge de 24 ans et j’ai lentement évolué dans ce rôle. J’ai commencé comme secrétaire chez Coca-Cola, tu imagines ?!
Mais je m’éloigne du sujet (ndlr : pour la quinzième fois ?). Ce qui est très important pour moi, c’est que les clients soient satisfaits. J’y consacre beaucoup de temps et d’énergie.”
Tom : “(rires également) Le rôle de Customer Success Account Manager te va donc comme un gant ?”
Sandra : “Oh oui. J’assure le suivi de nos clients existants dès qu’ils nous rejoignent. J’appelle, je visite, j’explique nos services : tout le bazar. Allez, pense à VOILA. Bientôt, la facturation électronique sera obligatoire et là, ils auront besoin de nous, tu vois ?”
“Je donne aussi des formations chez les clients, je vois comment ils travaillent et j’utilise immédiatement des exemples tirés de leur propre environnement MyCodabox. C’est plus personnel et ils comprennent plus vite ce que je leur veux (rires)”.
Tom : “Sandra, quels sont les trois mots qui décrivent ta manière de bosser ? Je pense immédiatement à : überenthousiaste ?”
Sandra : “Mmmh, je ne l’aurais pas mis comme ça. Mais écoute, Tom, les voici :
Tom : “Les clients mesurent-ils à quel point tu te démènes pour eux ?
Sandra : “Clairement. Je transmets aux collègues tous les points qui seraient susceptibles d’être améliorés. Les personnes concernées se penchent alors sur la question et vérifient ce qu’ils peuvent faire. Et crois-moi, nos clients le voient et l’apprécient. Ils sentent que nous les prenons au sérieux et c’est un atout de taille par les temps qui courent.”
“Nous avons également lancé récemment une table ronde. On a invité un certain nombre de clients à y participer, on réfléchit ensemble…
En fait, je suis une sorte de porte tournante sympathique. J’écoute, j’absorbe, je réponds et je transfère. Mon rôle fait vraiment la différence, Tom, et je ne dis pas cela avec arrogance, hein. Allez, peut-être un tout petit peu (rires bruyants)”.
Tom : “Sandra, quand tu es avec tes amis au coin du bar et qu’il est question de ton travail, comment décrirais-tu l’atmosphère de travail chez Codabox ?”
Sandra : “Aha. C’est un environnement très professionnel, avec des collègues incroyablement bons et sympas, tous différents mais qui vont dans la même direction.
On peut y être soi-même, on ne se retrouve pas mis dans des cases, il y a beaucoup de transparence, tout le monde est accessible. Sais-tu à quel point c’est unique ?”
Tom : “Je le sais (clin d’œil). Quel est – pour terminer en beauté – le meilleur conseil professionnel que tu as jamais reçu ?”
Sandra : “En anglais, cette fois : ‘speak out loud’. Toujours. Et vérifiez vos faits.
Pour une fois, je ne vais pas en rajouter (et elle rit à nouveau de bon cœur).
Tom : “Sandra, je suis épuisé mais très satisfait. Merci pour ton énergie inépuisable pendant cette discussion unique en son genre.”
Sylvie Matthys dirige, aux côtés de sa mère, Procomptafisc, une fiduciaire située dans le charmant coin d’Hoeilaart. Une petite entreprise familiale avec une large clientèle. La priorité de ces dames ? La satisfaction de leurs clients. Et cela semble leur réussir plutôt bien. À Hoeilaart, elles ne tarissent pas d’éloges à propos de notre service SODA. C’est parti pour une visite virtuelle dans la périphérie bruxelloise.
Tom : « Mère et fille aux commandes. Vous y arrivez sans aide supplémentaire ? »
Sylvie : “Actuellement, nous sommes les deux actrices principales, oui (rires). Nous bénéficions d’un coup de main d’un indépendant une demi-journée par semaine, mais c’est tout. Nous avons environ 150 clients qui nous font confiance.”
Tom : « Ont-ils un profil spécifique ? »
Sylvie : « Non, pas vraiment, tout le monde est bienvenu chez nous. Comme nous ne nous concentrons pas sur une spécialisation ou un secteur en particulier, notre clientèle est assez diversifiée. »
Tom : « Comment vous démarquez-vous, Sylvie ? »
Sylvie : « Nos clients savent que nous sommes toujours là pour eux, peu importe les circonstances. Mmmh, ça peut sembler poétique (rires). En somme, nous privilégions un contact personnel et transparent. Réagir rapidement, agir promptement, livrer un travail de précision ; nous en sommes légèrement maniaques (rires). »
Tom : « Convaincre les gens de passer au numérique demande de la persuasion. Comment procédez-vous ? »
Sylvie : « Nous comprenons que certaines personnes adoptent le numérique plus rapidement que d’autres. Certains gèrent encore une compta entièrement papier, donc ils ne changeront pas du jour au lendemain. On organise régulièrement des formations. C’est à l’usage qu’on juge de la qualité, n’est-ce pas ? Nous investissons aussi dans des outils numériques pour faciliter la vie de nos clients, mais aussi la nôtre par la même occasion, bien sûr (clin d’œil). »
Tom : « Quel logiciel utilisez-vous chez Procomptafisc ? »
Sylvie : « Winbooks est notre solution comptable, nous utilisons aussi CODA et SODA. »
Tom : « Deux incontournables (rires). Pourquoi avez-vous adopté notre SODA ? »
Sylvie : « Eh bien, avant, on effectuait la gestion des salaires manuellement. Ça prenait énormément de temps. Et, bien que souvent minimes, les erreurs étaient inévitables. À la clôture annuelle, on constatait toujours des écarts entre nos résultats et ceux du secrétariat social. Hé bien je vous jure que ce n’est pas marrant, surtout en pleine période de rush. »
Tom : « Je comprends. Donc le principal avantage de SODA est une comptabilité précise et à jour ? »
Sylvie : « En plein dans le mille. »
Tom : « Comment s’est déroulée l’implémentation de l’outil ? Pas trop de stress de configuration ? »
Sylvie : « Non, aucun problème (rires). C’est super simple d’ajouter un nouveau client à SODA. Cela ne demande qu’un petit réglage dans Winbooks, donc nul besoin d’être un expert en informatique.
Un outil vraiment chouette, ce SODA (rires). »
Tom : « Quels clients sont les mieux adaptés à SODA ? »
Sylvie : « Les entreprises avec du personnel, ouvriers et employés. Pour eux, SODA est vraiment essentiel. Mais c’est aussi utile pour les salaires des dirigeants. Cela nous fait gagner tellement de temps. Pour moi, cet outil est indispensable à tout bureau comptable. »
Tom : « Pourtant, j’ai l’impression que SODA est un peu sous-estimé. Tout le monde ne connaît pas l’outil, apparemment. »
Sylvie : « Oui, c’est ce qu’on entend parfois… Quand je discute avec des confrères et que je vante SODA, certains n’en ont jamais entendu parler. On leur explique alors que cet outil vaut son pesant d’or, haha. Les gens pensent souvent que leur entreprise est trop petite pour un tel investissement, mais il est vite rentabilisé. Nous en sommes la preuve vivante (rires). »
Tom : « Donc SODA ne creuse pas un trou dans votre budget ? »
Sylvie : « Ah non vu le temps que ce service nous fait gagner. Et le temps, c’est… ? Hé oui, de l’argent (clin d’œil).
SODA est une solution complète pour la gestion des salaires avec une marge d’erreur quasi inexistante. L’efficacité de cet outil nous permet de consacrer plus de temps à nos clients.
Et ça, ça n’a pas de prix, n’est-ce pas ? »
Tom : « Avec quels termes forts compléteriez-vous cette phrase, Sylvie ? Si en 2024, vous gérez encore vos salaires manuellement, alors… »
Sylvie : « … vous trébucherez forcément sur des différences et des inexactitudes en fin d’année. Le temps perdu vous coûtera une fortune au sens figuré. Ça vous file littéralement des maux de tête et SODA est votre meilleur antidouleur (clin d’œil).
SODA nous assure chaque jour une compta correcte et à jour, un vrai soulagement. L’outil a simplifié notre vie, donné une touche plus professionnelle et a contribué à rendre nos clients plus heureux. Que demander de plus (rires) ? »
Tom : « Je ne vois rien à ajouter. Merci pour cet agréable entretien. »