Lettre ouverte à Codabox : ma réponse à votre enquête de satisfaction

Nos clients sont balèzes.
Alors qu’on pense les connaître, ils arrivent toujours à nous surprendre et à illuminer nos journées.
Tout comme la personne qui nous a envoyé la lettre ci-dessous.
Une véritable lettre à l’ancienne, déposée dans notre boîte aux lettres.
Je me dis que notre boulot n’est finalement pas si mal, avec des clients comme les nôtres.
Regardez ce que le monde des comptables pense de nous.
Ça vaut le détour.

Tom Blight

Cher Tom,

À une époque où l’e-mail est devenu un sport international, l’obstiné que je suis se tourne plutôt vers le stylo. Un petit objet quelque peu suranné, que j’utilise volontiers lorsque le temps me le permet. Au risque d’être considéré comme un vieux schnock à 33 ans, évidemment. Mais c’est comme ça.

Je t’écris au sujet de votre enquête de satisfaction que j’ai récemment complétée bien consciencieusement. Je connais Codabox, je sais qu’un « rapport » détaillé, truffé de chiffres et de pourcentages, suivra rapidement. Ah, c’est toujours intéressant et transparent, c’est sûr. Mais Tom, allez, sérieux : qui lit encore ce genre de trucs ?

Liberté d’expression multiple

Parce que j’aime beaucoup ma relation avec Codabox et que – je l’avoue – écrire est mon hobby, permettez-moi de vous parler de ma propre expérience avec votre entreprise. La mienne, donc, et par extension celle de tout un tas de confrères et consœurs (experts-)comptables, des personnes que je rencontre régulièrement pour discuter (des entreprises) du secteur.

Vous avez traité les réponses d’environ 260 répondants, n’est-ce pas ? Plus de 80% sont de petites fiduciaires, surtout basées en Flandre, un peu moins en Wallonie ainsi qu’une poignée venant de Bruxelles. Donc, si certaines personnes pensent que Codabox n’est destiné qu’aux gros acteurs du marché : réfléchissez-y encore.

Veuve Clicquot

Mais bon, je m’égare. Ce qui est clair pour tout notre groupe de réflexion, c’est que Codabox nous facilite vraiment é-nor-mé-ment la vie. Disons que nous gagnons plus de temps que Michael J. Fox dans Retour vers le futur.

La fiabilité de Codabox et l’excellente réactivité de l’équipe support à répondre rapidement et correctement à nos questions (parfois imprévisibles) sont pour nous une valeur ajoutée bien plus importante que d’avoir du Veuve Clicquot à table chaque jour.

Et surtout : le stress qui nous oppressait parfois, surtout en période de rush, a disparu comme par enchantement grâce à vos solutions. On reste évidemment vigilants (et parfois facilement irritable), mais cette sensation d’être constamment sous pression lors des clôtures trimestrielles et annuelles : ça fait désormais partie du passé.

Pas mal, tiens, ce bulletin

Ne le prend pas mal hein, Tom, mais cette histoire de Net Promoter Score (NPS) qui mesure la loyauté de vos clients, ça ne ferait pas un peu trop vantard, non ?

D’accord, c’est top que Codabox obtienne un score de plus de 50 points alors que de nombreuses entreprises de logiciels peinent à dépasser les 30. Mais faut-il vraiment en faire tout un plat chaque année ? Pffff…

CODA, SODA, CARO : une famille heureuse

Vous avez là une bien jolie association, Tom. SODA pour la gestion des salaires et CARO comme variante de CODA pour les relevés de cartes de crédit : on comprend vraiment l’intérêt de tout ça.

Vous savez ce qui nous frappe particulièrement avec CARO ?

  • La facilité avec laquelle les relevés de cartes de crédit nous sont automatiquement fournis
  • Le fait que nous n’ayons plus à devoir harceler nos clients (et donc que nous perdons beaucoup moins de temps lors des clôtures)
  • Le fait que nous ne devons plus détailler les transactions à la main

Facturation électronique : prêts pour le futur

Après un rapide tour de table lors de notre brainstorming, il est apparu que tout le monde ne savait pas que vous étiez assez actifs en matière de facturation électronique ; alors que celle-ci devient obligatoire à partir de 2026. VOILA et VOICI sont nos partenaires idéaux pour cela, n’est-ce pas ? C’est bien de le savoir.

Money must be funny, chantait ABBA

C’est vrai… vos tarifs, c’est un sujet délicat. C’est évident, si vous nous demandez si on voudrait payer moins, on dira oui. Et c’est vrai : on trouve que vous n’êtes pas bon marché. C’est en fait la seule raison pour laquelle nous n’activons pas toujours tous vos services pour tous nos clients. Mais en même temps, on le sait très bien aussi : on n’a rien sans rien.

S’attendre à ce que les équipes de Codabox’ers – des sales au support en passant par l’IT – se donne à fond pour nous servir de manière professionnelle pour une bouchée de pain : c’est croire au Père Noël.

Mais vous nous écoutez et vous nous dites imaginer un montant forfaitaire pour tous les services de Codabox. La moitié du groupe cible est fan, l’autre moitié n’a aucun problème avec la politique tarifaire en vigueur actuellement. Ça risque d’être un exercice d’équilibriste pour vous… Mais j’ai entendu dire que ce point était en bonne position sur l’agenda de Codabox. C’est appréciable.

Voilà, Tom, voici notre opinion sincère, notre loyauté également. Nous attendons avec impatience la suite que nous imaginons tout aussi constructive.
Avec mes cordiales salutations, au nom d’un groupe d’experts-comptables passionnés,

K.C.

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