La comptabilité numérique à portée de clic
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Interview menée par Tom Blight
Tom : “Plutôt du matin ou du soir ?”
Sandra : “Je suis une noctambule née ! Dans ma tendre jeunesse, je sortais énormément tous les week-ends. Et ce rythme est resté. Le réveil est toujours douloureux et j’ai du mal à m’endormir le soir. Vers 20, 21h, je suis vraiment au top de ma forme, Tom (rires).”
Tom : “Ce goût pour la vie nocturne… j’en déduis que tu es citadine ?”
Sandra : “Pas spécialement. Alors oui, c’est vrai, j’habite en ville. J’avoue que j’aime avoir constamment tout à portée de main. Mais j’apprécie aussi le calme de la nature. Si je devais choisir aujourd’hui, la ville l’emporterait quand même.”
Tom : “Les vacances, c’est plutôt au soleil ou escapades hivernales ?”
Sandra : “Je vote hiver, mais pas pour skier (je suis nulle !). C’est surtout parce que je suis une vraie usine à allergies… Le froid tient mes petits maux à distance. Si on me met un peu de soleil en bonus, je suis comblée.”
Tom : “Passons de la détente aux sujets plus nobles : préfères-tu le télétravail ou la vie de bureau ?”
Sandra : “J’ai un bon équilibre : je travaille en alternance deux jours au bureau, trois à la maison. Au bureau, c’est assez animé. Après l’agitation, je retrouve le lendemain un peu de calme chez moi. Et puis je me lasse du silence ici et je retourne au bureau le lendemain.”
Tom : “Comment puis-je imaginer tes loisirs ?”
Sandra : “Que veux-tu imaginer, Tom ? (clin d’oeil) Je fais partie d’un club de quiz avec mon collègue Peter, et nous sommes même classés en ligne, oui oui ! Tous les mois, on participe à un quiz et franchement, je suis bien contente d’avoir embarqué Peter là-dedans. Ce mec est incollable !
À part les quiz, je consacre pas mal de temps et d’attention à Jago, mon conure soleil, une sorte de petit perroquet. Il ne parle pas, mais il a une sacrée personnalité ! Le soir, il s’endort blotti contre moi pendant que je regarde la télé. Et quand je bosse, il reste sur mon épaule et adore s’inviter dans les réunions Teams. Un bosseur, ce Jago.”
Tom : “Donc après une grosse journée de travail, tu t’occupes de ton oiseau”
Sandra : “Exact. Pendant la semaine, je suis assez casanière. Je suis concentrée uniquement sur mon travail, ça me demande toute mon énergie. Il y a quand même 9 personnes qui comptent sur moi pour que tout se passe bien, pour être une interlocutrice de premier plan sympa pour un peu tout et n’importe quoi.”
Tom : “Depuis combien de temps travailles-tu pour Codabox ?”
Sandra : “Depuis un peu plus de 5 ans. J’ai commencé en tant que Customer Representative, un rôle que je maîtrisais et que j’adorais. Et puis le poste de Customer Support Coordinator s’est libéré… j’ai pris mon courage à deux mains, j’ai tenté ma chance. Et voilà : depuis 2 ans, je m’éclate totalement, Tom.
M’investir à fond, voir que tout tourne et constater que les gens sont contents, ça me rend heureuse. Quand je vois qu’un collègue traverse une période difficile, je suis là pour l’écouter… et, si possible, l’aider à résoudre son souci.”
Tom : “Et si tu devais expliquer à Jago ce que sa maman fait précisément comme travail, qu’est-ce que tu lui raconterais ?”
Sandra : “Ha ha, je suis l’intermédiaire entre notre manager An, notre team et les autres équipes. Je veille au bon déroulement des opérations, je coordonne le planning, remplace les collègues absents. Lorsque je remarque qu’il y a beaucoup de questions sur un sujet particulier, je m’arrange pour fournir les explications nécessaires, en impliquant éventuellement les autres équipes concernées. Et quand An reçoit des demandes du management, elle me charge de traduire tout ça en actions concrètes. Et puis je donne aussi un coup de main lorsque la charge de travail explose ou que l’équipe est en sous-effectifs.”
Tom : “On voit que c’est clairement ton dada. Tu faisais un métier similaire avant ?”
Sandra : “À la base, je suis traductrice de formation. Mais j’ai exploré pas mal de secteurs : j’ai fait de la vente, j’ai été marketing manager dans une entreprise active dans la construction et je suis passée par quelques services clients.
Et aider les clients, ça a clairement été mon coup de coeur. Quand j’ai eu l’opportunité de le faire pour Codabox, une fintech tournée vers l’avenir, j’ai su que j’avais trouvé ce qui me convenait. Et avec l’ambiance qui règne ici, franchement, je suis une employée ra-vie (rires) !”
Tom : “Quels sont les trois mots qui résumeraient le mieux ta manière de travailler ?”
Sandra : “Amicale, rigoureuse et curieuse. Pour tout te dire : je suis un peu maniaque de la précision, mon ami. Une réunion est une réunion, elle doit déboucher sur des actions concrètes.
Je prends énormément de notes, chaque virgule compte et tout est suivi à la lettre. Je m’intéresse vraiment à l’entreprise, aux gens, à l’évolution des outils. Tout m’intrigue, tout m’amuse. Voilà.”
Tom : “On sent un véritable enthousiasme, mais j’imagine que ton travail comporte égaement pas mal de défis ?”
Sandra : “Nous sommes une équipe de 11 personnes, avec des profils et des personnalités très variés. Chacun a son tempérament, sa manière de travailler. Il faut adapter son approche en permanence. Ce n’est pas toujours simple d’aligner tout le monde dans la même direction.”
Tom : “Et pour ça, quelles compétences sors-tu de ta boîte à outils ?”
Sandra : “L’écoute, l’empathie et la flexibilité. Comprendre la réalité de l’autre, accepter le changement et gérer l’imprévu. Je commence ma journée avec un planning bien clair… qui explose souvent après 2 heures. C’est parfois frustrant mais jamais monotone. Et finalement, je continue d’apprendre, chaque jour, dans une équipe en or. Que demander de plus ?”
Tom : “Ah, je me pose la même question. Dis Sandra, et si tu devais citer un fait d’arme qui te rend extrêmement fière ?”
Sandra : “Hé bien, je dirais : d’avoir saisi ma chance lorsque ce poste s’est libéré. Je suis fière d’avoir osé suivre mes ambitions. Et de m’en sortir pas trop mal, je pense, sinon je ne serais plus là aujourd’hui (rires).
À côté de ça, je suis également heureuse d’avoir accompagné l’équipe dans sa transition de l’ère du papier à l’ère numérique, et de continuer à être un repère malgré les changements liés à l’intégration avec Wolters Kluwer.”
Tom : “Pour conclure, que dirais-tu à une personne qui hésite à postuler chez Codabox ?”
Sandra : “Que cette personne rejoindra une entreprise chaleureuse, soudée, où tout le monde a son petit grain de folie mais sans jamais sombrer dans le manque de professionnalisme. On propose des solutions qui permettent à nos clients de régler leurs problèmes numériques. On le fait avec tant de passion et de plaisir que ça se ressent dans la qualité du service. Et tout le monde en est ravi, tant les clients que les collègues. Voilà. Amen, Tom(rires).”
Tom : “Me voilà presque ému à l’issue de cet entretien. Merci pour ce moment plein de bonne énergie !”