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Interviewé par : Tom Blight
Tom : « Guitare ou batterie ? »
Stijn : « Guitare. J’ai commencé par la batterie, mais j’avais envie d’écrire ma propre musique. Et un batteur qui compose, ça me semble plutôt rare. »
Tom : « Heavy metal ou ballades romantiques langoureuses ? »
Stijn : « Heavy metal. Mais j’apprécie plein d’autres styles de musique, hein. Oui oui, même une Taylor Swift fait partie du lot. »
Tom : « On est au comptoir en train de philosopher. Tu prends quoi : mezcal ou tequila ? »
Stijn : « Mezcal, j’adore ce côté fumé qu’on retrouve aussi dans le whisky : un pur délice. »
Tom : « Raconte-moi un peu ta vie de famille, Stijn. »
Stijn : « Je vis avec ma compagne Katrien à Malines. Nous sommes parrains de Melanie, une petite fille du Paraguay. À la maison, on a deux chats adoptés, Cheddar et Raclette, et je suis aussi le parrain d’un cochon, Wabbe. »
Tom : « Ah ah ! Vu le nom de tes chats, j’imagine que vous êtes de grands fans de fromage ? »
Stijn : « Tout juste, Tom. Il y a quelques années, on est allés à un festival du fromage en Italie, organisé par un mouvement slow food. Imagine : toute une ville plongée dans l’univers du fromage. Le paradis sur Terre, que je te dis ! (rires). Et attends, c’est pas tout. On planifie aussi nos voyages en fonction du fromage. Récemment, on est allés à Camembert, par exemple. Chacun son truc, non ? »
Tom : « Carrément. À part le tourisme fromager, tu fais quoi de ton temps libre ? »
Stijn : « Je joue dans un groupe. On écrit nos propres morceaux, on fait des concerts et on essaie de sortir un album tous les x années. Le dernier date de 2022 et là, on bosse à fond sur du nouveau matos. Ce côté créatif collectif – je laisse les paroles aux autres, moi je préfère balancer des riffs bien tranchants – c’est vraiment ce qui me fait vibrer. »
Tom : « Et le groupe s’appelle… ? »
Stijn : « Witch Piss. »
Tom : « Euh, pardon ? »
Stijn : « Haha, c’est inspiré d’une série française sur Netflix qui parle de sorcières. À un moment donné, l’une d’elles – une sorcière, donc – se met à pisser sans raison. Et voilà, l’idée du nom était née. »
Tom : « À part Witch Piss, comment tu décompresses après une journée bien remplie ? »
Stijn : « Déjà dans le train, je lis ou je mate une série. Ensuite, à la maison, je me mets aux fourneaux – c’est souvent moi qui cuisine, et j’adore ça, c’est mon moment de détente. Et le soir, tu me trouveras devant la télé. Je suis un gros fan de films et de séries, surtout des nanars des années 80. L’horreur et tout ce qui va avec… j’adore ! »
Tom : « Complète la phrase : je ne peux pas vivre sans… ? »
Stijn : « Katrien. Je marque des points là, non ? (rires). Bon, si on parle d’objets, je ne suis pas trop attaché aux choses matérielles. Je pourrais me passer de ma guitare… même si bon, ce serait quand même un sacré coup dur. »
Tom : « Ça colle bien au mec no-nonsense que je connais au bureau. Depuis combien de temps es-tu un Codaboxer ? »
Stijn : « Depuis 2013. À l’époque, je suivais une formation d’employé administratif via le VDAB (Forem en Flandre, ndlr), notamment pour améliorer mon français et me rendre plus attractif sur le marché du travail. J’ai une maîtrise en arts plastiques ; on ne va pas se mentir, ce n’est pas le genre de diplôme qui fait rêver les employeurs. La formation était tellement hor-ri-ble que j’ai postulé à tout ce qui bougeait. Codabox – qui se trouvait à côté de chez moi, ce qui tombait bien – m’a repêché. »
Tom : « Qu’est-ce qui t’a attiré chez eux ? »
Stijn : « Honnêtement ? Je voulais juste fuir cette formation. J’aurais accepté n’importe quoi. (Note de la rédaction : et il ajoute, imperturbable : “Bon, dit comme ça, ça fait un peu foireux.”) »
Tom : « Est-ce que ta motivation a un peu évolué depuis ? »
Stijn : « Affirmatif, Tom. Codabox est une entreprise de niche dans un secteur qui évolue hyper vite, et ça me passionne. Depuis le début, je suis en contact avec les clients, et ça donne du dynamisme à mon job. Aider les gens et entendre qu’ils sont vraiment contents, c’est super gratifiant. »
Tom : « C’est quoi ton job au quotidien en tant que Customer Support Rep ? »
Stijn : « J’ai un rôle bien précis. On peut me considérer comme un Inside Sales Support ; je commence là où le travail des commerciaux se termine. Ils ont conclu l’affaire, et moi je prépare tout le nécessaire dans le système pour que le client puisse commencer à travailler avec nos outils. Une grande partie de mon job concerne aussi les fusions et acquisitions : les bureaux comptables qui rachètent d’autres bureaux, les indépendants qui passent en société… Il y a beaucoup d’administratif derrière, et c’est là que j’interviens. »
Tom : « Donc tu gères tout le back-end, la plateforme MyCodabox, la facturation… tout ça, c’est sous ton aile ? »
Stijn : « Je n’aurais pas pu mieux le dire, Tom. »
Tom : « Codabox a grandi à une vitesse folle après son lancement. Ça a changé ta façon de bosser ? »
Stijn : « L’entreprise a effectivement grandi super vite. Mais les deux premières années où j’ai travaillé ici, on ne recrutait presque pas. Je n’avais pas réalisé que le nombre de clients avait presque triplé depuis la création. J’ai donc lutté pendant un moment avec l’idée que c’était moi qui ne faisais pas bien les choses. Quoi qu’il en soit, j’ai découvert que la structure et la clarté sont très importantes pour moi. C’est pourquoi j’écris aussi beaucoup et je le mets dans des tableaux récapitulatifs clairs ; ça m’aide et ça aide aussi les collègues. Est-ce que j’ai l’air d’un lèche-bottes maintenant, Tom (petit rire d’auto-dérision) ? »
Tom : « C’est quoi ta plus grande frustration au boulot ? »
Stijn : « Que tout le monde ne bosse pas comme moi. Je ne supporte pas la lenteur – et mon job implique BEAUCOUP d’attente. Alors je harcèle les gens pour obtenir des infos, mais toujours avec diplomatie. Apparemment, j’ai un air calme et posé… Si ça me permet d’arriver plus vite à mes fins, tant mieux (rires). »
Tom : « Une petite victoire dont tu es fier ? »
Stijn : « Honnêtement, chaque fusion que je gère est une victoire. Parfois, ça se règle en une journée alors que parfois, ça traîne pendant des mois. Et tu sais à quel point j’adore attendre, hein, Tom ? »
Tom : « Comment as-tu vu la culture d’entreprise évoluer ? »
Stijn : « Au début, c’était très décontracté, presque familial. Avec le temps, on s’est structurés, mais l’ambiance reste unique. On est et on restera un groupe soudé et super sympa. »
Tom : « Belle conclusion. Merci pour cet entretien… rock’n’roll ! »