La comptabilité numérique à portée de clic
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Horus n’a été lancée qu’en 2020. Aujourd’hui, plus de 2500 comptables et 15 000 entrepreneurs utilisent déjà la plateforme. Composée de 20 personnes, l’équipe liégeoise d’Horus s’emploie à mettre en place des intégrations intelligentes. Histoire de permettre à leurs développeurs de proposer de nouvelles fonctionnalités, rapidement et en toute simplicité, sans avoir besoin de recourir à des développements supplémentaires.
Fin 2022, notre service CARO a été intégré via l’API Codabox Connect. Les comptables d’Horus peuvent ainsi recevoir les relevés de cartes de crédit de leurs clients de manière 100% numérique, directement dans leur solution comptable.
Rencontre avec Jérôme Tailleur, cofondateur et directeur commercial chez Horus, pour savoir comment son équipe a réussi à mettre en œuvre CARO en quelques semaines seulement.
Jérôme : « Notre fondateur a lancé Cubic dans les années 80. Ce logiciel de comptabilité tournait sur MS Dos, c’était l’un des premiers de son genre en Belgique.
Il est également à l’origine de Bob, un logiciel légendaire dans les années 90, qui a finalement été racheté par Sage. D’ailleurs, Bob existe toujours sous le nom de Sage Bob Expert (les anciens Sage Bob50 et Sage Bob100).
Comme vous le voyez, nous avons donc pas mal d’expérience en termes de solutions pour les comptables 😉.
Il y avait finalement 3 bonnes raisons de développer un nouveau logiciel de comptabilité :
La plupart des solutions comptables ont été développées dans les années 90. Pfiou. Ces plateformes utilisent encore beaucoup de vieilles technologies, qui sont vraiment obsolètes aujourd’hui.
Deuxième observation : ces logiciels de comptabilité ont été développés pour les comptables. Nous sommes convaincus qu’un logiciel de comptabilité doit également être axé sur l’utilisateur final, à savoir l’entrepreneur ou la PME. Notre UX a été développée en tenant compte des deux types d’utilisateurs : le comptable et l’entrepreneur. Les logiciels actuels n’ont ajouté la partie entrepreneur que bien plus tard ou… pas du tout.
Et 3ième point : les données en temps réel. Nous vivons dans un monde où tout évolue rapidement. Avec les logiciels old-school, vous devez attendre le quatrième trimestre pour avoir un aperçu des performances de votre entreprise réalisées au cours du troisième trimestre. C’est complètement dépassé, surtout quand on sait que les particuliers ont aujourd’hui un aperçu complet de leur situation financière en un rien de temps grâce à leur smartphone ».
Jérôme : « Tout d’abord, nous avons construit la plateforme à partir de zéro, ce qui nous a permis d’intégrer très facilement toutes les nouvelles technologies à la base. Je pense notamment à l’intelligence artificielle dont tout le monde parle en ce moment.
Ces technologies sont ancrées dans notre système, alors que d’autres plateformes logicielles sont contraintes de s’appuyer sur un code existant et parfois obsolète.
Ne voyez pas ça comme une critique à l’encontre des autres plateformes logicielles développées dans les années 90. Qui aurait pu prévoir à l’époque que le smartphone allait être inventé ? Que nous serions en mesure de prendre un scan d’une facture grâce à la caméra intégrée et d’envoyer le scan à notre comptable en un rien de temps ?
Les temps ont changé et notre plateforme a été développée pour répondre à ce nouveau comportement et à cet état d’esprit mobile, en temps réel ».
Jérôme : « En fait… oui (rires).
Grâce à notre approche fondamentalement digitale, nous pouvons facilement traiter les données dans nos systèmes. Cela offre à nos utilisateurs une grande flexibilité pour travailler eux-mêmes avec les données.
Si nous avions opté pour la solution FTP, nous aurions perdu un temps précieux à récupérer les données « manuellement » sur un serveur et nous aurions dû tirer un trait sur notre promesse de « données en temps réel ».
Pour importer les données dans nos systèmes, nos développeurs auraient dû écrire de nouvelles lignes de code pour tout intégrer proprement. Encore une fois, ça constitue une perte de temps inutile.
Enfin, le protocole FTPS peut être considéré comme sûr, mais les risques liés à l’utilisation de serveurs FTP sont toujours bien présents.
En bref, nous créons des logiciels en 2023 et nous utilisons donc les normes technologiques en vigueur aujourd’hui. Pour nous, les API comme celles de Codabox constituent les seuls choix possibles ».
Jérôme : « Nous n’avons eu absolument aucun problème pour intégrer votre API. C’est aussi simple que ça.
Nous n’avons même pas eu besoin de contacter le service support : tout ce que nous devions savoir, nous l’avons retrouvé dans la documentation de l’API.
D’accord, nous avons dû effectuer quelques tests, mais en fait, nous avons pu mettre en œuvre l’API Codabox Connect très vite et sans trop de difficultés ».
Jérôme : OK, puisque vous insistez 😊 Vous avez déjà fait un bon travail en connectant 4 banques à CARO, mais ce serait bien si davantage de banques étaient connectées. Je pense que c’est le seul défi à relever pour ce service.
Sur le plan technologique, l’API fait ce qu’elle doit faire. Je pense que ce n’est qu’une question de temps avant que CARO ne devienne aussi important que votre service CODA.
Alors, continuez et surtout restez vous-mêmes, c’est tout ce que j’ai à ajouter.